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13 FÉVRIER 2014 N°07 Pleinchamp DÉPOT : BRUXELLES X HEBDOMADAIRE DE LA FÉDÉRATION WALLONNE DE L’AGRICULTURE PÉRIODIQUE D’INFORMATION AGRICOLE DIFFUSÉ LE JEUDI AUPRÈS DE TOUS LES EXPLOITANTS AGRICOLES DE WALLONIE Chaussée de Namur, 47 B-5030 - Gembloux - Tél. : 081 60 00 60 - Fax : 081 60 04 46 - email : [email protected] - www.fwa.be CETTE SEMAINE Réglementation transitoire pour les dossiers ISA .............................2 Le PRRS n’est pas une fatalité ............2 PGDA: une enquête pour du beurre? ...........3 Au menu du prochain Conseil ......... 4 Légers assombrissements sur le marché céréalier ........................5 ÉDITO Recouplage généralisé des aides à l’agriculture aux Etats Unis C’est donc à l’issue d’un bras de fer de plus de deux ans entre la Chambre (à majorité démocrate) et le Sénat (républicain) que les Etats Unis sont parvenus à boucler leur nouveau «Farm Bill», soit la loi-cadre agricole pour les cinq prochaines années. Celle-ci s’inscrit dans une ligne radicalement opposée à la Pac 2014-2020, en privilégiant le couplage via des systèmes assurantiels. Richard Cydzik La valeur des engrais de ferme ........ 6 Arsia+, nouvelle mutuelle pour tous les éleveurs..............................................7 Le développement durable pour le secteur de la production végétale ............................................................... 8-9 Maïs: quelles variétés au sud du Sillon Sambre et Meuse ......... 10-11 Marché concours de Ciney ............... 12 Zwischen Eupen und Sankt Vith..... 13 Marchés .................................................14 Echo herbager .....................................20 La principale caractéristique de cette nouvelle loi est qu’elle représente un retour vers un recouplage généralisé des aides aux agriculteurs. Un recouplage qui certes ne saute pas aux yeux de prime abord, puisqu’il prend l’apparence d’un système d’assurances: assurances à la fois contre les aléas climatiques d’une part, et contre les baisses de cours d’autre part. Par exemple, en cas de perte de récolte supérieure à 30%, l’agriculteur recevra un «revenu de remplacement» équivalent au prix moyen de marché sur les douze derniers mois pour la culture concernée. Un système d’assurance existait certes jusqu’à présent mais avec d’énormes franchises de remboursement. Ces franchises disparaissent pratiquement, tandis qu’en outre le système d’assurances est étendu à des pans entiers de la population agricole non couverts jusqu’à présent: du côté des éleveurs, des jeunes agriculteurs, des producteurs de fruits et légumes. Le système assurantiel est évidemment privé aux Etats Unis. Mais précisément, le nouveau Farm Bill prévoit un vaste paquet d’aides indirectes qui se substituera aux anciennes aides directes, vouées à être abandonnées. Les nouvelles aides seront destinées d’une part aux agriculteurs (afin qu’ils puissent s’acquitter de leurs cotisations), d’autre part aux assureurs pour leur permettre de supporter les frais de gestion occasionnés par le système. Pour ce qui est des fluctuations des cours, un filet de sécurité sera mis en place contre les baisses «significatives» - ce filet se déclenchant dès que le cours des matières premières chute en-deçà d’un prix de référence. En ce qui concerne le lait, un mécanisme de garantie de «marge moyenne» sera établi. Il s’agit également d’un dispositif assurantiel sur les marges qui jouera pour tous les éleveurs, «à l’exception de ceux dont la production augmente plus que la moyenne nationale sur une campagne déterminée» (l’occasion pour nous de rappeler que certains eurodéputés, dont le Français Michel Dantin, avaient plaidé pour la mise en place d’un pareil mécanisme dans la Pac 2014-2020, mais il n’avait pas recueilli l’appui d’une majorité). Il importe de souligner qu’avec la notion de «marge», le coût de l’alimentation animale est également pris en considération. Au total, on aura compris que la nouvelle politique américaine s’inscrit dans une ligne radicalement opposée à la nouvelle Pac. Tandis que les milieux agricoles en Europe ont dû batailler rudement pour obtenir un couplage minimal pour les «secteurs sensibles», c’est dans les faits et sous les apparences, l’option d’un recouplage total qu’ont choisie les Etats Unis. Plus question de se reconnecter aux signaux du marché. Plus question non plus de se plier aux exigences de l’OMC. Enfin, l’abandon du régime des aides directes était quasiment devenu une obligation politique outre-Atlantique. Comment en effet y justifier l’octroi de telles aides alors que les cours de plusieurs cultures « bénéficiaires» y ont quasiment flambé ces dernières années? Il convient de prendre en compte que le même problème risque le cas échéant de se poser en Europe, surtout après 2020, et qu’il s’agira dès lors de disposer d’arguments pertinents pour parer aux critiques. s s s s s s s ACTUALITÉS Réglementation transitoire relative aux dossiers ISA Le PRRS n’est pas une fatalité: Comment lutter et pourquoi? Suite à l’adoption des dispositions transitoires pour les aides ISA, la Députée wallonne, Caroline Cassart, a interrogé le Ministre de l’Agriculture, Carlo Di Antonio sur le budget encore disponible pour répondre aux demandes et surtout, sur la période pendant laquelle ces dispositions seront d’application. Elle a profité de l’occasion pour questionner le Ministre sur les futures dispositions ISA, les changements qui sont prévus et surtout, sur le calendrier de mise en œuvre. Le PRRS (aussi appelé SDRP) est une maladie virale causant d’importantes pertes économiques dans les élevages de porcs. Les souches virales européennes présentes en Belgique étaient jusqu’à présent relativement peu virulentes. Depuis peu, de nouvelles souches très virulentes ont été isolées en Europe, y compris en Belgique. Pour cette raison, la FWA, la FPW, le CIA du CPL-Animal, la Clinique porcine de l’ULg, le CRA-w, l’ARSIA et l’AWEP avaient invité, le 28 janvier 2014 à Gembloux, toutes les personnes intéressées par la production porcine wallonne à une après-midi d’étude ayant pour thème «Le PRRS n’est pas une fatalité: Comment lutter et pourquoi?» Dans sa réponse, le Ministre Di Antonio confirme que la nouvelle réglementation est transitoire et sous réserve que l’enveloppe ne soit pas épuisée. En cas d’épuisement de l’enveloppe budgétaire européenne, l’acceptation des demandes vaudra accord de principe, que ce soit les nouveaux modèles T pour les investissements ou pour les aides à l’installation. Selon lui, il est nécessaire que le nouveau PwDR et le règlement européen pour les aides aux investissements dans le secteur agricole autorisent une poursuite de soutien, afin que cet accord de principe se transforme en promesse ferme lors de l’entrée en vigueur du nouvel arrêté pour les aides aux investissements et à l’installation. Le futur PwDR est en cours d’approbation par le Gouvernement wallon est sera soumis sous peu à enquête publique. Le nouvel arrêté du Gouvernement wallon pour les aides aux investissements et à l’installation est en cours d’écriture et sera promulgué dès adoption définitive du PWDR, soit sans doute en milieu d’année. Les concertations menées dans le cadre de l’élaboration du PWDR ont permis de recueillir l’avis des syndicats agricoles et de nombreux acteurs sur les priorités et les modifications à apporter. La première grande nouveauté pour la période 2014- 2020 est l’instauration de critères de sélection imposés par l’Europe dans le but de renforcer la modernisation des exploitations. Il est prévu d’octroyer aux bénéficiaires des aides différenciées en fonction du demandeur, de l’investissement et de l’exploitation au travers de critères de sélection, qui peuvent être technicoéconomiques, géographiques, environnementaux, sociaux et sociétaux. Différents niveaux d’aide publique sont prévus sous forme de subventions en capital ou de garantie publique. Cela permettra de soutenir financièrement des projets agricoles qui concourent à rencontrer les priorités de la Wallonie. La seconde est une simplification administrative. Il n’y a plus de plan d’investissement, mais des demandes par investissement. Enfin, il n’y aura plus de subventions intérêt, uniquement des aides et des garanties. Selon le Ministre, il n’y a pas de souci à se faire, il y a des réserves budgétaires disponibles pour une bonne partie de l’année 2014 pour accepter les plans tels qu’ils sont prévus dans la période transitoire. Mais il envisage quand même quelques mois où il y aura accord de principe qui sera définitif lorsque le PwDR et l’arrêté auront été validés au niveau européen. Après avoir remercié le Ministre pour ses réponses, la Députée wallonne n’a pas manqué de soulever le fait qu’une période transitoire n’est jamais simple, surtout pour les personnes qui doivent investir cette année-ci et qui n’auront aucune certitude. Tout en se réjouissant que cette période puisse être passée au plus vite, elle a réaffirmé l’importance de poursuivre le soutien aux investissements pour moderniser les exploitations agricoles wallonnes dans la nouvelle programmation. 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En porcherie, cela a deux conséquences: premièrement, selon la souche virale en présence, on observera une maladie plus ou moins grave et deuxièmement, la réponse immunitaire suscitée par une souche du PRRS ne permet pas nécessairement de protéger les porcs avec efficacité contre une autre souche. C’est ce qui explique que la vaccination n’apporte pas une efficacité à 100 % pour lutter contre le PRRS et que des mesures doivent être prises pour empêcher l’entrée du virus dans votre porcherie... même si celui-ci est déjà atteint par l’une des souches. Le Prof. Nauwynck a expliqué qu’en s’attaquant aux macrophages alvéolaires des poumons des porcs en croissance, le virus du PRRS provoque une pneumonie interstitielle, ouvre la porte aux agents compliquants et baisse l’immunité des animaux, favorisant l’expression d’autres maladies (associées à Streptococcus suis, Mycoplasma hyopneumoniae,...). Depuis quelques mois, de nouvelles souches du génotype 1 émergent un peu partout en Europe. Par rapport aux anciennes souches, elles se caractérisent par une virulence plus importante et provoquent encore plus de pertes dans les élevages, avec des signes cliniques plus prononcés (coups de flancs, fièvre,…) et aussi plus de mortalités. Lors de son exposé, le Professeur Hans Nauwynck, a décrit la souche «Lena» et une autre qu’il a isolée dans son laboratoire, et de ce fait baptisée «Flanders 13». Ces souches virales ont la capacité de se répliquer massivement au niveau du nez (en plus des poumons) ce qui pourrait augmenter leur contagiosité. L’autre cible du virus du PRRS, ce sont les macrophages situés dans l’utérus. Ils peuvent être contaminés lors d’une virémie (le virus est alors transporté par le sang vers l’utérus) ou par de la semence contaminée (provenant d’un verrat infecté), lors de l’insémination. Les lésions atteignant l’utérus voire les membranes fœtales sont alors telles que les embryons et les fœtus ne peuvent plus se développer, ce qui a pour conséquences des retours en chaleurs, des avortements tardifs ou encore la naissance de porcelets mort-nés ou affaiblis. Lors de la discussion, Hans Nauwynck a aussi rappelé l’inefficacité du vaccin tué. Le vaccin atténué (vivant) diminue quant à lui la virémie de la souche sauvage mais ne la stoppe pas. Selon lui, d’ici deux ans, de nouvelles souches virales (Lena, Flanders 13,...), plus virulentes, auront fait leur apparition dans les exploitations porcines à travers l’Europe. Les vaccins «vivants» actuellement disponibles dans le commerce, qui ont été conçus pour lutter contre les souches virales apparues dans le courant des années ’90, seront devenues inefficaces: il est donc essentiel que des outils de lutte adaptés soient mis au point et disponibles pour nos troupeaux. Le deuxième orateur, le Dr Pierre Nyssen (belge d’origine) est vétérinaire praticien dans le Nord de la France et travaille quasi exclusivement en «porcine». Après un rappel sur l’impact économique du PRRS dans les exploitations (jusque 20 € par porc produit) et sur la maladie, il nous a présenté comment gérer le PRRS. Il est essentiel pour un éleveur de connaître son statut «PRRS». Si l’élevage est négatif, il faut le savoir pour pouvoir le rester en évitant tout risque de contamination qui provient de l’extérieur (biosécurité externe). Si l’exploitation est déjà atteinte, il faut minimiser la pression d’infection en limitant autant que possible la circulation du virus dans l’élevage (biosécurité interne) et en augmentant l’immunité par la vaccination de tous les animaux. Les principales sources de contamination sont l’introduction de porcs infectés (cochettes, verrats et porcelets), le sperme contaminé (doses IA), les transports d’animaux vivants, les visiteurs, les cadavres et leur transport, le lisier, le fumier et l’air contaminé. Il ne faut pas négliger les risques de contamination via les animaux domestiques (chiens et chats), les nuisibles (rats, souris et insectes) et les oiseaux. Il est donc important d’acheter des animaux indemnes et d’utiliser une quarantaine. Il est impératif d’acheter des doses IA provenant de centres certifiés PRRS négatifs. Il faut aussi mettre en place un sas d’entrée pour canaliser et équiper les visiteurs de tenues et de bottes propres au troupeau. Enfin, un quai d’embarquement bien géré permet de réduire le risque que représente l’arrivée d’un camion déjà chargé de charcutiers potentiellement excréteurs du virus à proximité d’une porcherie. Afin d’empêcher la circulation virale dans une porcherie, il est nécessaire de séparer la zone «naissage» de la zone de «croissance» (vêtements, bottes, matériel voire équipes spécifiques à chaque zone). Le nettoyage et la désinfection des couloirs après le passage des animaux est d’application. La mise en place de pédiluves ou de pédichaux (contenant de la chaux vive) à l’entrée des bâtiments est à prévoir. Les loges vides sont trempées, nettoyées, désinfectées et séchées avant de remettre des nouveaux animaux. La pratique de la marche en avant, sans mélange d’animaux d’âges différents, avec une conduite en bandes stricte, l’utilisation d’aiguilles jetables,... sont autant de recommandations qui ont été formulées par le Dr Pierre Nyssen. La troisième présentation par le Dr Martine Laitat (Clinique porcine - ULg) a eu pour objectif de communiquer les résultats d’une enquête épidémiologique visant à mesurer la prévalence du virus du PRRS dans les troupeaux détenteurs de porcs reproducteurs en Wallonie. Ces résultats seront détaillés dans le prochain numéro de l’Arsia-infos mais on peut déjà en dévoiler la teneur: la moitié des troupeaux wallons testés au cours de l’enquête se sont avérés PRRS-positifs. Pour terminer, deux posters ont été présentés. Le premier, intitulé «Comment prévenir l’introduction du PRRS dans un élevage» a été commenté par Mr Vincent Leroux (CER de Marloie). Ce poster, qui sera bientôt transmis aux éleveurs de porcs en Wallonie, attire l’attention sur les sources de contamination virale, par ordre d’importance, et y fait correspondre les mesures à prendre pour les minimiser. Mr Leroux a insisté aussi sur la nécessité dans un avenir proche de diminuer l’utilisation des antibiotiques dans les élevages et sur le fait que la lutte contre le PRRS va dans ce sens. Le deuxième poster, intitulé «Programme d’éradication du PRRS en Wallonie, une région à faible densité de production porcine» a été présenté par le Dr vétérinaire Pierre Thilmant (CPL-Animal). Ce poster montre qu’il est possible - même si cela demande une vigilance de chaque instant - d’éradiquer le PRRS dans un troupeau et aussi de maintenir son statut indemne. Cette action, financée par la Région Wallonne et par la Province de Liège, a été menée en partenariat avec 9 naisseurs-engraisseurs wallons. Le Dr Thilmant a montré comment, en informant, en assurant un suivi sanitaire, en insistant sur la mise en place de mesures de biosécurité et au besoin, en accompagnant celles-ci d’un programme de vaccination, des éleveurs wallons ont pu devenir indemnes de PRRS et le rester. Pierre Thilmant l’a souligné: le plus difficile dans un tel programme est de trouver des règles de biosécurité adaptées à chaque situation. ACTUALITÉS Enquête publique du PGDA : une enquête pour du beurre ? Le PGDA est révisé tous les 4 ans. Le projet de programme a été soumis à l’enquête publique jusqu’au 20 décembre dernier. L’administration doit ensuite traiter les remarques et les soumettre au Ministre pour finaliser le PGDA. Il est prévu que le processus aboutisse au printemps prochain et que le nouveau PGDA prenne effet au 1er janvier 2015. Bernard Decock La phase d’enquête publique est donc importante car elle permet un retour de terrain sur les mesures proposées. La lecture du résultat de l’enquête publique est attendue non seulement pour connaître l’ampleur de la participation mais également pour faire évoluer le texte en fonction des remarques. Nous reprenons ci-après des extraits de l’interpellation parlementaire faite par la Députée Cassart à ce sujet et des réponses apportées par le Ministre Henry. Quoique les résultats finaux de l’enquête publique ne soient pas encore connus, les éléments de réponses donnés par le Ministre n’ont pas de quoi nous rassurer. On semble être dans une justification des mesures proposées par son administration. Nous ne manquerons pas de revenir sur ce dossier une fois que seront connus les résultats complets de l’enquête publique, mais la FWA ne se contentera pas d’une justification sans modifications du texte. Il en va non seulement de la praticabilité d’une série de mesure mais également de la crédibilité d’une enquête publique. Interpellation de la Députée Caroline Cassart Monsieur le Ministre, pouvez-vous préciser le nombre d’interventions reçues dans le cadre de cette enquête ? Quels sont les divers points de contestation émis par le secteur agricole ? Ceuxci seront-ils concrètement pris en compte et intégrés, pour certains, dans le nouveau PGDA ? Dans l’affirmative, pouvez-vous énumérer ces points précis ? tion correcte des épandages. Elle oblige l’agriculteur à déplacer son stockage ce qui entraîne une charge de travail supplémentaire, un charroi et des pertes dans l’air… Ce point précis est-il soumis à réflexion ? Concernant la couverture des sols, dans les zones vulnérables, avec cette nouvelle version du PGDA, on passe de 75% à 90% des cultures récoltées avant le 1er septembre et emblavées en culture de printemps recouvertes à l’automne. La dérogation pour les emblavements en pois et en lin est supprimée. En outre, sur toutes les cultures de légumineuses récoltées avant le 1er août et suivi d’une culture de froment, une culture de couverture devra être implantée avant le 1er septembre et détruite au plus tôt à partir du 1er octobre. Quelle justification au passage de 75 à 90% ? Ces mesures ont-elles été envisagées en corrélation avec les nouvelles dispositions de verdissement de la PAC ? Nos agriculteurs risquent de se voir pénalisés par rapport à nos voisins européens… Le Gouvernement wallon souhaite-t-il soutenir l’économie agricole ou l’alourdir de contraintes injustifiées au niveau européen ? Autre aspect important de ce dossier : la méthode de calcul du taux de liaison au sol sera considérablement modifiée dans le PGDA III. Or, le calcul de ce taux est susceptible d’impacter 100% des exploitations soumises à la conditionnalité agricole et ce système de calcul n’est pas une obligation européenne… A travers la nouvelle réglementation, avez-vous envisagé de perQuel est l’agenda relatif à l’analyse des résulmettre aux exploitants agricoles d’adapter leur tats de l’enquête publique ? Quelles sont les prosituation après avoir reçu les informations émachaines étapes et le calendrier adjacent à cellesnant de l’administration ? ci? Outre l’aspect méthodologique, je souhaite que nous nous attardions quelque peu sur les principales modifications du PGDA : Les prairies permanentes ne pourront être labourées qu’entre le 1er février et le 31 mai. Monsieur le Ministre, quelle est la justification de l’échéance du 1er février ? 2. Concernant les dates d’épandage, elles réduiront d’1/3 la période d’épandage après la récolte des céréales. Pouvez-vous justifiez cette restriction ? Que ce soit au niveau des cultures ou des prairies (pour lesquelles les dates d’épandage ont également été revues à la baisse), il parait fondamental que les périodes d’épandage puissent s’adapter aux conditions climatiques qui varient selon les années et les régions. Le métier d’agriculteur se fait en fonction de l’environnement, du climat… Concrètement, une mesure alternative est-elle envisagée ? Le secteur agricole propose de pouvoir décaler d’une quinzaine de jours, moyennant une déclaration aux services adéquats de la région, les périodes d’épandage en prairies et en culture. Réponse du Ministre Henry Le texte final du PGDA devra évoluer en fonction des remarques formulées mors de l’enquête d’y répondre. Les remarques émises par la FWA sont, pour certains points, similaires à celles contenues dans votre interpellation. Toutefois, il convient d’indiquer que la FWA ne constitue pas le seul avis émanant du secteur, même si c’est un avis important. J’en viens aux questions plus précises que vous posez. Concernant les dates de labour des prairies permanentes, il est déjà prévu en zone vulnérable, depuis 2007, qu’elles ne peuvent être labourées qu’entre le 1e février et le 31 mai. Selon mon administration, il n’y a jamais eu de remarques quant à une éventuelle difficulté de mise en œuvre. Le labour des prairies permanentes en hiver est aussi défavorable à la qualité des eaux en dehors des zones vulnérables qu’en dedans. Deuxièmement, en ce qui concerne les périodes d’épandage, il convient d’examiner le projet de PGDA dans son ensemble. En effet, en prairie, la période d’épandage est étendue d’un mois en automne c’est-à-dire jusqu’au 16 octobre. À l’instar de la Flandre, la période d’épandage a été réduite en culture en raison du fait qu’il est inutile pour les cultures et nuisible pour la qualité des eaux d’épandre du nitrate, sous quelque forme que ce soit, lorsque la plante ne peut pas l’absorber. C’est pour cela qu’il a été préféré de restreindre la période d’épandage en culture pour l’allonger en prairie où un couvert permanent permet de recycler une partie de ce nitrate. au niveau des dates d’épandages. En effet, même si d’un point de vue agronomique il peut être justifié d’épandre en hiver, l’effet sur la qualité de nos eaux sera tout aussi important puisque rien ne retient ce nitrate. À propos de la proposition de décaler de quinze jours « à la carte » les périodes d’épandage, le contrôle du respect d’un tel dispositif générerait un coût disproportionné eu égard au bénéfice recherché. Dans le cadre des contrôles visant à assurer le respect de l’interdiction d’épandage de fertilisants sur sol gelé en zone vulnérable, une instruction a été donnée aux services de contrôle afin d’assurer une interprétation harmonisée de la notion de sol gelé. Troisièmement, en ce qui concerne le registre du stockage au champ, les modalités pratiques doivent encore être fixées par un arrêté ministériel. Cet arrêté ministériel s’inscrira dans une optique de simplification administrative. Il convient de rappeler que les fientes de volailles sont un fertilisant très concentré en éléments nutritifs. La plupart des autres pays et régions interdisent purement et simplement leur stockage au champ. Quatrièmement, le passage de 75 % à 90 % de couverture pour les sols destinés à des cultures de printemps en zone vulnérable est justifié par l’efficacité constatée de cette mesure pour la protection des eaux. La communauté scientifique dans son ensemble réunie autour du problème de la gestion de l’azote en juin 2009 était favorable à 100 % de couverture et était également d’avis que les exceptions mentionnées dans la législation précédente ne se justifiaient pas. En résumé, le prochain Programme de Gestion Durable de l’Azote en agriculture, consistant en la transposition de la directive nitrates a pour vocation première l’amélioration et la préservation de la qualité des eaux de surface et des eaux souterraines. Qui plus est, toutes les contraintes imposées au secteur sont justifiées eu égard aux objectifs fixés au niveau de l’Union européenne. Mais comme je l’ai rappelé en début de cette réponse, nous prendrons connaissance de l’ensemble des remarques émises lors de l’enquête publique et il y aura une réponse qui y sera apportée. Madame la Députée, je ne suis pas encore en mesure de vous informer du nombre de remarques émises lors de cette enquête publique sur le PGDA. En effet, toutes les communes consultées n’ont pas encore envoyé leur procèsverbal de clôture de l’enquête, accompagné des différentes observations. Les procès-verbaux devraient être transmis à mes services au plus tard pour le 15 janvier. Une fois reçues, les différentes remarques seront analysées par mon administration. Il m’apparaît important d’avoir C’est également la raison pour laquelle il est une vision globale des remarques émises avant nécessaire de faire preuve d’une certaine rigidité 3. Relativement au stockage au champ, l’emplacement et la date de début de stockage devront être consignés dans un registre. Cela doit se faire de manière rapide et efficace et ne pas engendrer une charge de travail futile. Je pointe ici, la simplification administrative. En outre, le stockage du fumier au champ est revu à la hausse de deux mois ce qui n’est pas le cas pour les fientes de volaille (1 mois maximum). Or, cette durée est insuffisante pour permettre une ges- 13 FÉVRIER 2014 - Pleinchamp 3 EUROPINIONS Toujours des contentieux sur l’étiUn plan européen contre les espèces exotiques envahissantes quetage des viandes dans l‘UE Un plan visant à empêcher l’introduction dans l’UE d’espèces exotiques envahissantes, telles que les plantes, animaux ou insectes qui peuvent transporter des maladies, causer des dommages à l’environnement ou à l’économie, a reçu le soutien de la commission de l’environnement au Parlement européen. La législation prévoit une interdiction des espèces listées comme préoccupantes pour l’Union. “Nous avons abouti à un bon texte. L’objectif est de s’attaquer aux espèces invasives sans mettre en danger les activités des citoyens» a déclaré le rapporteur, dont le texte a été adopté par 49 voix contre 4 et 3 abstentions. «Il est possible que la proposition soit modifiée durant les négociations, mais notre ligne rouge sera d’assurer que la proposition finale soit applicable, et que le processus soit transparent. Les citoyens et les experts doivent avoir leur mot à dire lorsque les espèces invasives seront listées, et les états membres doivent pouvoir adapter la législation en fonction des conditions locales» a toujours ajouté le rapporteur. Selon les nouvelles règles, les États membres devront analyser les canaux par lesquels les espèces invasives sont introduites, se répandent, et devront mettre en place des systèmes de surveillance et des plans d’action. Les contrôles aux frontières de l’UE devront également être améliorés. Pour les espèces invasive étant déjà largement répandues, les états membres devront prendre des mesures de gestion. Espèces listées comme préoccupantes des espèces qui voient le jour dans un pays de l’UE mais qui deviennent invasives dans un autre pays de l’UE. La commission a également défini des mesures pour s’attaquer aux espèces envahissantes qui posent problème dans un État membre donné. Les pays de l’UE devront établir les sanctions appropriées en cas de violation des dispositions. Cependant, ils pourront établir un système permettant aux établissements spécialisés d’élever certaines espèces invasives si celles-ci ont une valeur économique, sociale et environnementale élevée. Une cause majeure de perte de biodiversité Selon la Commission européenne, les espèces exotiques envahissantes constituent l’une des principales causes de la perte de biodiversité et de disparition des espèces. Elles peuvent être également vecteurs ou causes directes de maladies (asthme, dermatites et allergies). Elles peuvent endommager les infrastructures, les forêts ou causer des pertes agricoles. Le coût des pertes est estimé à 12 milliards d’euros par an. Ce n’est pas sans raison que la Commission a proposé de n’étiqueter obligatoirement que les lieux 4 Pleinchamp - 13 FÉVRIER 2014 Quid de la viande transformée? Autre dossier sensible: l’étiquetage de la viande présente dans les plats préparés. Le sujet est sensible depuis l’affaire des lasagnes où ne devait figurer que de la viande bovine. Le Bureau européen des Unions des Consommateurs (BEUC) ne cesse de dénoncer l’inertie de la Commission à cet égard. Un projet d’inspections inopinés et d’amendes plus lourdes est en discussion au Parlement européen et au Conseil. La création d’un «réseau anti-fraude alimentaire» et d’un outil informatique d’alerte est en attente. Enfin, et surtout, dénonce le Beuc, l’étiquetage d’origine de la viande dans les plats préparés est compromis par le rapport de la Commission qui «accumule les arguments contre» un tel système. «En accumulant des arguments peu fondés défavorables à l’étiquetage d’origine des plats préparés, la Commission a ignoré les 90 % de consommateurs qui souhaitent connaître l’origine de leur viande », affirme la directrice générale du Beuc, Monique Goyens. « Le mois dernier, on a découvert des traces de viande de chevaux de laboratoire dans la chaîne alimentaire en France », rappelle-t-elle par ailleurs. «Des exemples comme celui-ci prouvent bien que la fraude est encore répandue. En parallèle, bon nombre d’États membres réduisent toujours plus leurs dépenses en matière de contrôles. Au Royaume-Uni par exemple, les vérifications officielles des informations contenues sur les étiquettes alimentaires ont chuté de 16,2 % suite à ces coupes budgétaires». Les Ministres de l’agriculture de l’UE se réuniront à Bruxelles le 17 février prochain. La présidence grecque présentera au Conseil, dans le cadre d’un débat public, son programme de travail dans le secteur de l’agriculture et de la pêche. 99987748/0912jht NUTRILOR 085/84.60.36 d’élevage et d’abattage. En effet, une majorité qualifiée aurait été difficile à obtenir au sein du Conseil pour étiqueter le lieu de naissance. Légalement, le Parlement européen avait un droit de regard sur le projet d’étiquetage de la viande fraîche (autre que bovine) pendant les discussions en comité permanent entre la Commission et les Etats membres. Désormais, le seul recours disponible serait d’attaquer le règlement de la Commission auprès de la Cour de justice de l’UE dans les deux mois suivant sa publication (la date limite serait le début du mois de mars). Mais ce recours devrait porter sur le fait que la Commission n’a pas respecté le cadre légal qui lui a été confié, la partie est à cet égard, loin d’être gagnée. Au menu du prochain Conseil agricole de l’UE 0!)+)8!6 ; :< 2 J(L';QQ5=;$ "C?CQWOZ@ ?`CG8:?:Q) (A GCZ&O( 2 =;&5Q5=;;':';Q$ C;W( &( Fb Q"8(WQ &( 1b 4 2 =&' 'Q &=L' &I':?9=5$ 1b 4 &AQ X &)":?:WO(Q &N(Z CZ 1b 4 &AQ X &)":?:WO(Q &( ?:W GO ](Z HF Q"8(W GCZO O(A/CO"(O ?( "C?CQWOZ@ (A AW:"COGQ 9 X Q"8(WQ (A "Q &N Q(A"( &( "C?CQWOZ@I 2 ;Q(J)QL &T ?J=&T5Q$ 9 O(@G?"( WCW?(@(AW ?( "C?CQWOZ@ ?COQMZN:? AN` (A GQ 9 ?COQMZN:? ` (A % ?( ?]:"C? O(A/CO"( ? W(A(ZO (A AW:"COGQ &Z "C?CQWOZ@ :AQ: MZ( ? O)Q:QWA"( &(Q ](Z_K 9 4OAW: A)4W:/ Selon le système proposé par la Commission, les étiquettes indiqueraient uniquement les pays d’élevage et d’abattage. L’étiquette pourrait indiquer qu’un porc a été «élevé» dans un État membre de l’UE après seulement quatre mois sur place, et uniquement après un mois dans le cas de la volaille. La Commission européenne n’a pas proposé d’étiquetage obligatoire pour le lieu de naissance de l’animal, malgré les demandes répétées du Parlement à ce sujet. «Les consommateurs souhaitent avoir une vue d’ensemble de la chaîne d’approvisionnement de la viande. C’est pourquoi je demande que les lieux de naissance, d’élevage et d’abattage apparaissent sur l’étiquette. De nombreux citoyens veulent savoir si les animaux sont originaires de pays qui appliquent des normes de bien-être élevées et veulent connaître la distance parcourue par les bêtes pour des raisons d’éthique et d’environnement», a affirmé le travailliste britannique Glenis Willmott, dont la résolution a été adoptée par 368 voix pour, 207 voix contre et 20 abstentions. «De telles mesures sont déjà en place pour la viande de bœuf et je ne vois pas pourquoi nous ne devrions pas avoir les mêmes dispositions pour les porcs, moutons, poulets et autres animaux dont nous consommons la viande», a-t-elle ajouté. Les députés ont souligné que l’origine de la viande restait un sujet préoccupant pour les consommateurs. Les récents scandales alimentaires, dont celui de la viande de cheval utilisée frauduleusement à la place de viande bovine, attestent que les consommateurs ont besoin de règles plus strictes en matière de traçabilité et d’information et souhaitent de telles règles, ont-ils ajouté. Par conséquent, les parlementaires invitent la Commission à retirer son règlement et à proposer une version révisée qui inclut l’indication obligatoire sur l’étiquette des lieux de naissance, d’élevage et d’abattage de ces viandes, conformément à la législation en vigueur sur l’étiquetage d’origine de la viande bovine. Ils demandent également à la Commission de supprimer du règlement d’exécution toute dérogation pour les viandes hachées et les chutes de parage. La position des Etats membres Les espèces considérées comme «préoccupantes pour l’Union» doivent être identifiées et ne doivent être ni introduites, transportées, placées sur le marché ni offertes, conservées et élevées ou relâchées dans l’environnement, soulignent les députés. Ils s’opposent au plafonnement à 50 espèces, soulignant qu’une liste ouverte permet d’inclure Le Parlement européen a voté une résolution demandant d’étendre le système d’étiquetage existant en viande bovine à d’autres types de viande, notamment de porc. Les étiquettes sur l’origine de la viande bovine – en vigueur depuis le 1er janvier 2002- sont devenues obligatoires suite à la crise de l’ESB, la fameuse encéphalite spongiforme bovine. Les Etats membres de l’UE avaient validé le 5 décembre 2013 de nouvelles règles d’étiquetage de l’origine de la viande fraîche et congelée de porcs, volailles, moutons et chèvres, mais les parlementaires les jugent trop complexes. La Commission présentera au Conseil sa proposition de règlement en ce qui concerne le régime d’aide à la distribution de fruits et légumes et de lait dans les établissements scolaires. Les régimes d’aide dans les établissements scolaires en ce qui concerne les fruits, les légumes et le lait ont été créés, à l’origine, pour promouvoir la consommation de ces produits par l’intermédiaire de l’école. Outre que de tels régimes sont bénéfiques pour la santé publique, les produits concernés sont issus de secteurs importants de l’agriculture de l’UE. La nouvelle proposition vise à fusionner les deux différents régimes afin de simplifier les procédures. Elle vise en outre à remédier à certains défauts de conception de ces régimes ainsi qu’à certaines déficiences dans l’efficacité de leur mise en œuvre, qui ont été relevés dans plusieurs rapports et évaluations externes. Le Conseil consacrera un débat d’orientation à la proposition de règlement relatif à des actions d’information et de promotion en faveur des produits agricoles sur le marché intérieur et dans les pays tiers. Dans le cadre de la politique agricole commune (PAC), qui a fait l’objet d’une réforme l’année dernière, la politique de l’UE pour la promotion des produits agricoles vise à renforcer la compétitivité de l’agriculture européenne tant sur le marché intérieur que dans les pays tiers. Par ailleurs, les ministres consacreront un débat au suivi des discussions consacrées aux résultats de la conférence «Le secteur laitier dans l’Union: évolution au-delà de 2015», tenue à Bruxelles le 24 septembre 2013. EUROPINIONS Légers assombrissements dans les perspectives sur le marché céréalier Ø ÍÒÙÓÝÓÝÝËØÞ $-:˜ ÏØ ÚÖßÝ Î˪ßØÏ ;""$4 ,9"!4 -!$. àÙßÝ ÌĀØĀʨÍÓÏÜÏä˝ Le développement de la tolérance au gel des céréales d’hiver a pris du retard en Europe de l’Ouest et en Europe centrale, s’inquiète le Centre commun de recherche de la Commission européenne dans son bulletin sur l’état des cultures. Ce phénomène de tolérance au gel permet aux plantes de se préparer à survivre aux conditions hivernales. Mais, depuis la mi-décembre, la plupart des régions d’Europe ont connu une période exceptionnellement douce qui a retardé ce processus de tolérance depuis l’Irlande jusqu’à la Pologne en passant par le sud de la France, la Hongrie, la Serbie, la Bulgarie et les Balkans. Les prévisions météorologiques des prochaines semaines indiquent une diminution significative des températures en Europe centrale et orientale qui devrait permettre de terminer le processus de ˾ ˾ ˾ ˾ renforcement des plantes. Mais un coup de froid inattendu accompagné de chutes neige pourrait entrainer des destructions importantes de cultures notamment dans l’est de l’Allemagne, en Pologne, en République tchèque, dans les pays baltes, en Hongrie, en Roumanie et en Bulgarie, selon les experts scientifiques de la Commission. Par contre, les conditions météorologiques ont permis un renforcement quasi complet des plantes en Russie, en Ukraine et en Biélorussie. Îß #!""9- -&9:-#$4 9 .&" Î˪ߨ ÞÜāÝ ÚÏÞÓÞ ÍÙÖÖÏÞ ÏÞ !" 4- Î˪ßØÏ ÏâÍÏÖÖÏØÞÏ ÜĀÝÓÝÞËØÍÏ æ ÖË ×ÙØÞËÓÝÙØ ÎÏ ÚÜÓâ ÍÙ×ÚĀÞÓÞÓÐÝ Vers une autorisation du maïs OGM 1507 Aucune majorité pour ou contre l’autorisation de mise en culture du maïs OGM 1507 de Pioneer ne se dégage entre les États membres de l’UE, ce qui devrait conduire la Commission européenne à donner son feu vert à cette variété à l’issue de la réunion du Conseil du 11 février dernier à Bruxelles. un OGM en l’absence de majorité qualifiée pour ou contre. Mais dans le cas présent, c’est l’ancienne législation (comitologie) en la matière qui sera appliquée – obligeant la Commission à donner son feu vert – puisque la procédure d’autorisation de cet OGM a été entamée avant l’entrée en application de cette nouvelle comitologie. La Commission a été condamnée le 26 septembre 2013 par la Cour de justice de l’UE pour avoir retardé pendant des années l’autorisation de mise en culture du maïs 1507. Plusieurs délégations (le Danemark, le Royaume-Uni, le Luxembourg…) appellent à un débat plus large sur la culture des OGM. La présidence grecque pourrait organiser un débat le 3 mars dans le cadre du Conseil «environnement» pour rediscuter de la proposition législative de la Commission européenne de laisser plus de liberté aux Etats membres (une forme de renationalisation) pour interdire sur tout ou partie de leur territoire les cultures transgéniques pour des motifs Autorisation … obligatoire autres que l’impact sur la santé et l’environneEn l’absence de décision des Vingt-huit, la ment. Cette proposition est enterrée depuis 2010 Commission européenne est dans l’obligation suite à l’échec de la présidence danoise pour pard’autoriser ce nouveau maïs OGM au sein de venir à un compromis sur ce texte. l’UE. Depuis l’entrée en application du traité de Lisbonne, la Commission peut refuser d’autoriser La France ne respecte pas la directive «nitrates» NjǍDŽǓ ̾ 8608 ˾ ' ÏØ ÜÏÍÙßàÜÏ×ÏØÞ Îß ÝÙÖ ˾ ÜāÝ ÐËÓÌÖÏ ÞËÜÏ ÞÏÜÜÏ 17 *  ÎÞ˛ ÜËͲ ˪͔͒ ˝ '<<% æ '// Î '''1 '1  Ïà˛ ÐÓØ˛ ˪͔͒ ˝ '<' * ÙßÜÍÏ˝ ͓͔͑͒ ̩ ÚÜÓâ ÝßÍÜÏÜÓÏ ͓͕͑͒ La France doit être condamnée pour ne pas avoir correctement retranscrit la directive européenne sur la protection des eaux contre la pollution par les nitrates à partir de sources agricoles, a estimé le 16 janvier l’avocat général de la Cour de justice de l’UE, Juliane Kokott. riodes d’épandage d’effluents d’élevage, capacité des cuves destinées au stockage des effluents d’élevage, limitation de l’épandage et interdiction d’épandage sur les sols en forte pente ou sur les sols détrempés, inondés, gelés ou couverts de neige. À plusieurs reprises, la Commission a demandé à la France de garantir «la mise en œuvre correcte et complète» de toutes les exigences de la directive dans les zones vulnérables polluées par les nitrates ou susceptibles de l’être mais cette dernière a fait la sourde oreille, a souligné Juliane Kokott. Si, comme cela est prévisible, la France est condamnée à une astreinte journalière, peut-être se mettra-t-elle à écouter les recommandations de la Commission, estime en substance Juliane Kokott. (Source: Agra) ̾ 86082 ˾ ÙßàÏÜÞßÜÏ ÜËÚÓÎÏ Îß ÝÙÖ ˾ ÜāÝ ÚÏÞÓÞ ÍÙÖÖÏÞ Â ÓÍÒÏÝÝÏ ˪͔͒ ˝ '<<7 * ('/%)  Ïà˛ ÐÓØ˛ ˪͔͒ ˝ '<'5 * Au final, seize États membres s’opposent à la proposition de Bruxelles (France, Pologne, Grèce, Hongrie Bulgarie, Autriche, Danemark, Lituanie, Slovénie, Lettonie, Luxembourg, Chypre, Slovaquie, Italie, Croatie, Malte), six sont pour (Espagne, Royaume-Uni, Roumanie, Suède, Finlande, Estonie) et six s’abstiennent (Allemagne, Pays-Bas, Portugal, République tchèque, Belgique et Irlande). En termes de voix, cela donne donc: 91 pour, 176 contre, 85 abstentions. La Roumanie, qui s’est jusqu’à présent dite en faveur de l’autorisation du 1507, pourrait encore changer son fusil d’épaule. Mais, même si l’Allemagne et la Roumanie votaient contre la proposition – et si aucun autre changement n’intervenait – cela ne suffirait de toute façon pas à constituer une majorité contre. Le Parlement européen, qui n’a pas pouvoir de décision sur ce dossier, s’est, lui, prononcé contre la mise en culture de cette variété. La Cour de justice de l’UE, qui dans la plupart des cas suit les conclusions de son avocat général, doit trancher dans les mois à venir. La France risque une amende de plusieurs dizaines de millions d’euros. Dans cette affaire, la France est poursuivie par la Commission européenne sur la qualité des mesures de transposition de la directive nitrates dont l’objectif est de parvenir à une amélioration de la qualité des eaux. En France, depuis 2000, plus de 10 % de toutes les stations de mesure relèvent à chaque fois des taux de nitrate supérieurs à 50 mg/l dans les eaux souterraines. Près de 19 000 communes françaises sont considérées comme des zones vulnérables aux nitrates. Sur toutes les mesures devant être mises en place des manquements ont été observés: pé- NjǍDŽǓ + + 13 FÉVRIER 2014 - Pleinchamp 5 CULTURES La valeur des engrais de ferme Chaque année, Agro-Ost établit la valeur des engrais de ferme en comparaison avec les engrais minéraux. Le cours des principaux fertilisants étant orienté à la baisse, la valeur des engrais de ferme, exprimée en €/tonne, est donc en baisse. Nous constatons en ce début d’année une détente du coût des engrais par rapport à janvier 2013. Ainsi la valeur d’une unité d’azote sous forme de nitrate d’amoniaque est passée de 1,16 € à 1 €, celle du phosphore soluble (TSP) de 1 € à 0,64 € et celle de potasse de 0,65 € à 0,51. Bonne nouvelle donc que cette diminution de prix. Elle confirme, si besoin en était, la liaison notamment du prix de l’azote à celui de l’énergie. plication et du type d’engrais organique. Pour le fumier de bovin non composté, le coefficient retenu est de 45 %. L’apport NPK est donc de 2,74,6-9 par tonne. On constate que le rapport entre les différents éléments passe à (1-1,7-3), ce qui ne correspond pas nécessairement aux besoins de la culture à fertiliser. Mais la comparaison entre les engrais de ferme et les engrais minéraux de ne s’arrête pas aux seules teneurs en NPK, loin s’en faut. C’est Une valeur non négligeable ainsi que les engrais de ferme restent une valeur sûre pour l’agriculteur car, outre les éléments Les valeurs affichées pour les différents en- fertilisants majeurs, ils apportent une série grais de ferme ne sont pas des valeurs commer- d’autres éléments minéraux : MgO – CaO – Na2O ciales. En effet, les engrais de ferme correspon- et oligoéléments, soufre etc. dont la valeur est dent à des rapports NPK liés à leurs composi- loin d’être négligeable. tions. Prenons l’exemple du fumier de bovin dont Ne perdons pas non plus de vue que les engrais la teneur moyenne en NPK est de 6-4,6-9/tonne de ferme apportent du carbone aux sols d’autant (ce qui correspond à un rapport NPK de 1-0,8-1,5). plus qu’ils contiennent de la paille, de la litière En pratique, on tient compte du coefficient d’ef- etc. La valeur de l’humus est une donnée extrê- Sans tenir compte de sa valeur humus, une tonne de fumier apporte l’équivalent de 15€ d’éléments ficacité de l’azote qui varie en fonction de l’ap- mement difficile à chiffre. C’est d’autant plus fertilisants 9DOHXU GHV HQJUDLV GH IHUPH SDU WRQQH GH SURGXLW IUDLV HQ FRPSDUDLVRQ DYHF OHV HQJUDLV PLQpUDX[ $JUD2VW (OpPHQWV )XPLHU )XPLHU ERYLQV /LVLHU /LVLHU FRPSRVWp GH ERYLQV GH SRUFV GH ERYLQV 0DWLqUH VqFKH 1 WRWDO NJ NJ NJ NJ [ NJ [ NJ [ NJ 1 HIIHFWLI HQ SUDLULH HQ IRQFWLRQ GX FpIILFLHQW G HIILFDFLWp [ NJ [ ¼NJ QLWUDWH G DPRQLDTXH ½ ½ ½ ½ [ NJ [ NJ 1 HIIHFWLI HQ FXOWXUH HQ IRQFWLRQ GX FpIILFLHQW G HIILFDFLWp [ NJ [ NJ [ ¼NJ QLWUDWH G DPRQLDTXH ½ ½ ½ ½ ½ ½ ½ ½ [ ¼NJ VROXWLRQ D]RWpH ½ ½ ½ ½ [ ¼NJ XUpH 3 2 NJ NJ NJ NJ [ ¼NJ 3KRVSKDWH QDWXUHO ½ ½ ½ ½ ½ ½ ½ ½ [ ¼NJ 3KRVSKDWH VROXEOH 763 .2 NJ NJ NJ NJ [ ¼NJ ½ ½ ½ ½ 0J2 NJ NJ NJ NJ [ ¼NJ ½ ½ ½ ½ &D2 NJ NJ NJ NJ [ ¼NJ ½ ½ ½ ½ 1D2 NJ NJ NJ NJ [ ¼NJ ½ ½ ½ ½ 9DOHXU WRWDOH HQ ½W GH SURGXLWV IUDLV HQ SUDLULHV SHUPDQHQWHV VXU EDVH QLWUDWH G DPPRQLDTXH HW SKRVSKDWH QDWXUHO ½ ½ ½ ½ 9DOHXU WRWDOH HQ ½W GH SURGXLWV IUDLV HQ FXOWXUH EHWWHUDYHV HW PDwV VXU EDVH QLWUDWH G DPPRQLDTXH HW SKRVSKDWH VROXEOH ½ ½ ½ ½ DSSRUW HIIHFWLI WHQDQW FRPSWH GX FRpIILFLHQW G HIILFDFLWp SDU UDSSRUW j XQ HQJUDLV FKLPLTXH 9DOHXU GHV pOpPHQWV IHUWLOLVDQWV HQ ¼XQLWp 79$& YUDF GpSDUW QpJRFH SUL[ MDQYLHU )XPLHU GH SRXOHV NJ [ NJ ½ [ NJ ½ ½ ½ NJ ½ ½ NJ ½ NJ ½ NJ ½ NJ ½ ½ ½ vrai que l’apport d’humus à beaucoup plus de valeur pour un céréalier sans bétail que pour un éleveur herbager. Enfin, la concentration nettement inférieure des engrais de ferme en éléments fertilisants engendre des coûts de transport et d’épandage nettement plus conséquents que ceux des engrais minéraux. Cet aspect est toutefois lui aussi difficile à chiffrer précisément et peut être très variable en fonction de l’équipement dont chacun dispose. Echange paille-fumier Lors de l’échange paille-fumier, on peut tenir compte de la valeur « engrais » de la paille à savoir une teneur moyenne de 2 unités de phosphore et 10 de potassium. Ceci donne une valeur engrais de 7,5 € la tonne. Pour rappel, la paille se commercialise à 75 € la tonne. La quantité de paille à échanger contre du fumier pailleux doit tenir compte des éléments fertilisants contenus dans le fumier, ainsi que de la quantité d’humus fournie. Les coûts des travaux : récolte, pressage et transport de la paille, ainsi que chargement, transport et épandage du fumier doivent être comptabilisés. D’après Pierre Luxen Une ouverture avec DiversiFerm Anciennement CQPF, DiversiFerm a pour mission d’accompagner les producteurs-transformateurs wallons dans leur démarche de diversification. Quatre partenaires proposent un triple encadrement : hygiénique, technologique et économique. Voici ce qu’il faut savoir avant de franchir en toute sérénité le pas de la diversification. Car les questions ne manquent pas, à commencer par les démarches à entreprendre. Et les autres interrogations se bousculent comme le coût du projet, les exigences auxquelles il convient de répondre ou encore le lieu où se former. C’est à ce questionnement que DiversiFerm peut désormais répondre. Il s’agit d’Accueil Champêtre en Wallonie pour un encadrement économique. ACW propose avis et aides à la structuration du projet, l’étude de faisabilité, l’encadrement lors du démarrage et une aide aux démarches administratives (permis, BCE, aides ISA…) et prodigue des conseils pour la commercialisation en vente directe ou en circuits courts. L’encadrement technologique est assuré par le CARAH de Ath et l’EPASC de Ciney qui assurent la formation en transformation de produits laitiers, l’assistance technologique relative à la transformation de produits laitiers, la réalisation suivi à domicile et personnalisé sur les aspects Un guichet unique de séances de démonstration et la location d’ateéconomiques, administratifs, technologiques et liers. Enfin, l’encadrement hygiénique est pris DiversiFerm, c’est un partenariat financé par hygiéniques. Une compétence de terrain et des en charge par l’ULg – Gembloux Agro-Bio Tech la Wallonie et qui existe depuis 2006. Ce pro- solutions concrètes dans des situations spéci- afin de fournir une aide à la mise en conformité gramme a déjà apporté son soutien à plus de fiques. avec les législations en matière d’hygiène et de 1.000 producteurs dans l’organisation de points sécurité alimentaire. Concrètement cette Cellule Des partenaires expérimentés de vente, les secteurs de la transformation laioffre des conseils en infrastructure, un accompatière, l’abattage, la découpe, la commercialisagnement pour l’obtention d’un enregistrement, Les pôles économique, hygiénique et technolo- d’une autorisation ou d’un agrément AFSCA. Elle tion de viande, l’élaboration de plats préparés, la transformation de fruits et légumes, ou encore gique sont assurés par des structures qui ont fait conseille sur la mise en place des bonnes pral’héliciculture. Le guichet unique propose un leurs preuves dans le secteur de la diversification. tiques d’hygiène, analyse HACCP ou la traçabi- 6 Pleinchamp - 13 FÉVRIER 2014 lité. Elle procède aux analyses microbiologiques, fournit une aide à l’interprétation des résultats et offre des formations à l’autocontrôle avec des informations sur la législation en vigueur. DiversiFerm, en collaboration avec la FJA, organise trois séances d’information sur la gestion efficace de l’hygiène, du nettoyage et de la désinfection: 27/02 de 9H00 à 13H00 à la ferme expérimentale et pédagogique du CARAH, 301 rue de l’Agriculture à 7800 Ath 13/03 de 9H00 à 13H00 à l’AWE – Service Lait, 41 rue de la Clé à 4650 Herve 14/03 de 9H00 à 13H00 à l’EPASC, 14 Domaine de Saint-Quentin à 5590 Ciney. Plus d’informations au 0081/62 23 17 ou sur www.diversiferm.be ELEVAGE Arsia+: nouvelle mutuelle pour tous les éleveurs L’Arsia, Association Régionale de Santé et d’Identification Animales, a décidé de renforcer le principe de mutualisation des actions qu’elle défend depuis sa création, voici 10 ans. Arsia+, sa nouvelle mutuelle, s’adresse à tous les éleveurs et toutes les espèces. - Intervention sur le coût des ramassages de cadavres pour autopsie (< 300 kg) - Assistance vétérinaire, à la demande du vétérinaire d’exploitation - Pour ce qui est des actions «Traçabilité», il s’agit de: • Assistance gratuite en Identification et Enregistrement • Assurance sur les pertes de documents lors des échanges postaux • Assurance sur la réédition de passeports dans certaines circonstances Il a également été décidé d’une augmentation de +/- 10% du montant des ristournes accordées sur certaines analyses, pour autant que le bénéficiaire respecte les règles sanitaires prônées par l’Arsia. Changement de principe, changement de nom, la mutuelle libre de l’Arsia s’appellera désormais Arsia+, reflet de la démarche de progrès et de solidarité sanitaire que l’association défend. Les objectifs de l’Arsia sont en effet de renforcer la solidarité dans les filières santé et identification animales et d’augmenter l’éventail de ses services. La caisse de solidarité interne à l’Arsia a été constituée au fil des années grâce aux cotisations des éleveurs mais aussi grâce à la gestion responsable de l’association qui ristourne chaque année près de 2.000.000 € à ses adhérents utilisateurs de ses services. Jusqu’à présent, les ristournes étaient réservées uniquement aux analyses de laboratoire réalisées chez les bovins. A partir de 2014, le Conseil d’administration a décidé de proposer les mêmes avantages aux éleveurs de porcs ainsi qu’aux détenteurs d’ovins, caprins et cervidés. Ceux-ci prendront cours à partir du 1er juillet 2014. -(, ˾ "! .!+ %&&   Modalités L’accès à la mutuelle Arsia+ est volontaire et accessible à tous les éleveurs de bovins, mais aussi désormais de porcs, ovins, caprins, cervidés qui répondent aux exigences sanitaires et de traçabilité imposées par la législation. Pour bénéficier des avantages de la mutuelle Arsia+, l’éleveur doit être membre de l’Arsia et s’acquitter annuellement d’une cotisation calculée sur base du nombre d’animaux présents dans l’exploitation. Pratiquement, dans le courant de la semaine du 17 février prochain, tous les éleveurs d’animaux de rente, toutes espèces confondues, doivent être très attentifs au courrier qui leur sera adressé par l’Arsia. Il contiendra en effet un dépliant qui reprend, entre autres, le règlement complet lié à la nouvelle mutuelle Arsia+ et le bulletin d’adhésion, qu’il vous est demandé de renvoyer signé, avant le 1er mai 2014. En effet, la légitimité de cette action passe obligatoirement par votre adhésion volontaire, laquelle doit être officiellement actée. Quels nouveaux avantages? Attention, sans ce document signé, l’association ne pourra vous faire profiter des avantages - Complémentaire aux fonds existants, Arsia+ proposés par Arsia+. L’Arsia vous demande donc est réservée exclusivement aux actions non trai- d’y être attentifs lors de la réception! tées par les autorités et/ou les fonds officiels. Des renseignements complémentaires Pour les actions «Santé», il s’agit de: peuvent être obtenus auprès de l’Arsia, - Intervention dans les actions de défense sa- tél.: 083/23 05 15, courriel: [email protected] nitaire, par exemple: plan de lutte paratuberculose, plan de contrôle BVD, plans GPS -'#' ˾ / "!+&) ˾   " Reproductions de plaques G (même fabricant que la plaque officielle délivrée par la D.I.V.) -( ˾ %& +% +%% ˾   Panneaux de signalisation www.fwa.be CONDITIONS SPÉCIALES pour les membres de la FWA ! $ sur # ! $ (100% conformes aux nouvelles normes belges) $ $ 13 FÉVRIER 2014 - Pleinchamp 7 CULTURES Le développement durable dans le secteur de la production végétale Vegaplan a récemment organisait son séminaire sur le thème du développement durable dans la production végétale. Il a permis de réunir des acteurs majeurs du secteur, des organisations agricoles aux représentants des acheteurs, sans oublier des représentants de la recherche universitaire et des réseaux internationaux. Tous sont venus présenter leur vision en matière de durabilité au sein du secteur végétal. Dans son mot d’accueil, Antoon Wallays, président de l’asbl Vegaplan, a tenu à rappeler que depuis sa création, Vegaplan a répondu avec succès aux défis en matière de sécurité des matières végétales, d’environnement et de qualité technique. Un pas supplémentaire devait être franchi pour tenir compte des attentes de la société en matière de ‘durabilité’, tout en étant conscient qu’il s’agit d’une notion très large, souvent amplifiée. C’est principalement pour cette raison qu’il a été décidé au sein de Vegaplan de s’atteler à cette tâche, plutôt que d’attendre que des exigences soient imposées par des tiers. A cette fin, le secteur agricole et horticole ainsi que les acheteurs de produits végétaux ont explicitement opté pour une collaboration au travers de la chaîne. Entretemps, les fournisseurs au secteur agricole via l’entreprenariat se sont aussi inscrits dans ce projet. “La collaboration au travers de la chaîne” fut un choix conscient afin d’apporter une réponse aux souhaits et demandes du consommateur d’aujourd’hui, et ce par-delà les frontières. En effet, l’exportation est un volet crucial pour le secteur agroalimentaire belge, particulièrement le volet végétal. L’interchangeabilité, sous la forme de la reconnaissance mutuelle entre le Standard Vegaplan et d’autres systèmes nationaux et internationaux, permet d’éviter des certifications et des contraintes supplémentaires. Vegaplan continuera à oeuvre à cette tâche, en gardant toujours en ligne de mire l’intégrité du système Vegaplan. L’approche intégrée qui a débouché sur le nouveau Standard Vegaplan offrira aux exploitations agricoles et horticoles certifiées une garantie de qualité encore plus grande et par conséquent des opportunités supplémentaires sur les marchés nationaux et internationaux. 13 FÉVRIER 2014 La parole fut ensuite donnée à Ricardo Pacico, responsable du projet ADER pour la firme WalAgri. Selon lui, la notion de durabilité n’est pas nouvelle au sein de la société WalAgri, mais les actions étaient indépendantes, peu structurées, peu visibles et peu valorisées. Il a donc été décidé en 2010 de recadrer l’ensemble des actions et de mettre en place un plan d’action. L’objectif recherché : « être reconnu comme étant le meilleur conseiller et partenaire, à long terme, de l’agriculteur pour garantir le développement économique de l’agriculture tout en respectant l’environnement et être en phase avec l’évolution et les besoins de la société ». Il est en effet important de défendre l’image de la profession agricole et d’aider les agriculteurs à entreprendre une démarche durable. Des outils ont été mis en place au sein de WalAgri (farde, formations spécifiques des agents technico-commerciaux, développement de la communication interne et externe) ainsi qu’une plate-forme ADER regroupant des partenaires privés et des officiels. L’étape suivante est la mise en place de deux projets pilotes dans les bassins versants de Perwez et de la Molignée en vue de promouvoir l’utilisation des bonnes pratiques agricoles en prouvant leurs impacts sur la qualité des eaux au moyen d’indicateurs; une manière de quantifier les actions en termes de durabilité. Quelques initiatives … Antoon Wallays, président de l’asbl Vegaplan lisé par l’UGent à la demande de la plate-forme ‘Concertation de la chaîne agro-alimentaire’. Cette plateforme de concertation rassemblant, entre autre, l’Association professionnelle des fabricants d’aliments composés pour animaux (APFACA), la Fédération de l’industrie alimentaire (FEVIA), les associations agricoles réunies dans la plateforme AGROFRONT, UNIZO et les distributeurs (COMEOS), a pour objectif de promouvoir la collaboration tout au long de la chaîne. Dans le cadre de ce projet, les demandes de la distribution, de certaines entreprises alimentaires ou du foodservices, ont été cartographiées. Les questions ont été rassemblées, classées et pondérées (fréquences/importance) dans le but de les attribuer aux maillons particuliers de la chaîne. Gisèle Fichefet, conseillère au sein de l’asbl Vegaplan, a ensuite présenté le travail réa- Ray Jacobsen, assistant du Prof. Gellynck de l’UGent - Departement of agricultural economics, a tout d’abord abordé la durabilité sous l’angle de l’empreinte écologique. Celle-ci se chiffre à 7,1 ha/personne en Belgique (4,7 ha/personne en Europe) par rapport à une biocapacité disponible de 1,8 ha/personne. Il a ensuite rappelé la définition du ‘développement durable’ qui combine les concepts ‘People - Planet – Profit’, considérés comme d’importance équivalente, tout en insistant sur l’aspect économique, qui constitue le fondement essentiel. Parmi les critères pris en considération par le consommateur lors de l’achat d’un aliment, une enquête a permis de montrer que 67 % des personnes interrogées plaçaient l’environnement comme élément important; en pratique, le prix reste néanmoins le critère déterminant dans le choix du produit. Il a ensuite exposé plus en détails le travail réa- Gisèle Fichefet, conseillère au sein de l’asbl Vegaplan 8 Pleinchamp - lisé au départ des conclusions de l’UGent. Elle a tout d’abord rappelé l’évolution opérée au sein du Standard GIQF depuis sa conception en 2004, l’objectif d’avoir un système de qualité unique pour l’intégralité de la production végétale rassemblant non seulement les demandes des acheteurs, mais également les exigences légales (AFSCA et régions) en matière de sécurité alimentaire et de traçabilité, de lutte intégrée (Integrated Pest Management), et en grande partie, de la conditionnalité; un cahier des charges bâti sur une analyse de risque pour chaque groupe de produits, élaboré au départ d’une véritable concertation entre les acheteurs et les représentants du monde agricole. L’objectif était de trouver un équilibre entre des exigences obligatoires (en termes de sécurité alimentaire, de qualité et d’environnement) et des recommandations accessibles pour l’ensemble des exploitations. Ensuite, elle a exposé la manière dont le groupe de travail Durabilité a répondu aux questions ‘durabilité’ émanant de la chaîne alimentaire : en identifiant tout d’abord les nombreux points ‘durables’ qui figurent déjà dans le Standard GIQF et en réfléchissant à la façon de couvrir les aspects de la durabilité qui faisaient défaut. Le cahier des charges devait cependant rester simple, faisable, abordable et contrôlable, tout en étant crédible vis-à-vis des parties prenantes et source d’opportunités pour le marché national et international. Tout d’abord, Philippe Appeltans, Secrétaire général de l’Association des coopératives horticoles Belges (VBT) a présenté le label ‘Responsibly Fresh’, label pour les fruits et légumes. Ce label, lancé lors du salon ‘FruitLogistica’ à Berlin en février 2012, peut être utilisé par les producteurs et leurs coopératives moyennant le respect d’exigences précises en matière de durabilité. Chaque producteur concerné doit avoir le certificat d’un système qualité (Vegaplan, GLOBALG.A.P, Culture Intégrée des Fruits) obtenu après un contrôle externe par un organisme de certification et renouvelé périodiquement. Les coopératives de producteurs individuels doivent souscrire à une charte d’entreprise responsable proposée par leurs provinces respectives ou par le VOKA. Cette charte fait l’objet d’une évaluation externe et est renouvelée chaque année. En outre, les coopératives de producteurs participants doivent introduire un dossier collectif qui reflète l’ensemble des efforts consentis en matière de durabilité pour l’ensemble de leurs producteurs. Une actualisation périodique est réalisée par la coopérative. Cette initiative permet de donner au niveau du VBT un aperçu sectoriel et une progression du secteur en matière de développement durable. Cette initiative ‘Responsibly Fresh’ a été saluée par un GLOBALG.A.P Award en novembre 2012 et est essentielle pour un secteur qui exporte près de 70 % de sa production. P. Appeltans souligne à ce titre l’importance de Vegaplan, qui permet au secteur primaire d’être parmi les premiers à intégrer ces concepts durabilité. Philippe Appeltans, Secrétaire général de l’Association des coopératives horticoles Belges (VBT) Enfin, l’intervention de Peter Erik Ywama, general Manager de la plate-forme ‘Sustainable Agriculture Initiative’, a permis d’avoir une vision de la durabilité au niveau de sociétés multinationales tels que Nestlé, Danone, Unilever, Mc Cain, e.a. Il est clair que la société demande davantage d’efforts en matière de durabilité. Mais est-elle prête à payer pour cela ? N’est-ce pas plutôt un choix stratégique des entreprises ? Où en sera-t-on en 2050 en termes de population, de pollution, de disponibilité en eau, de reprise des exploitations ? Les attentes au sein de la chaîne alimentaires sont semblables. Il faut éviter de complexifier les choses en multipliant les cahiers des charges, les logos ou labels ‘durables’ qui couvrent les mêmes notions mais qui créent la confusion. Il est important de standardiser et de permettre à l’agriculteur de s’auto-évaluer, tout en ayant des indicateurs permettant de mesurer les efforts réalisés en termes de consommation en eau, en énergie,… et stimuler ainsi l’innovation. Le développement durable au sein de la chaîne alimentaire Peter Erik Ywama, general Manager de la plateforme ‘Sustainable Agriculture Initiative’ La table ronde, dirigée par Peter Van Bossuyt (Boerenbond) réunissait des représentants des différents maillons de chaîne alimentaire : les associations agricoles (la FWA, le Boerenbond, l’ABS), les acheteurs des matières végétales réunis au sein de la PTMV (Plate-forme de concertation pour la Transformation et le négoce des Matières premières et produits Végétaux), l’industrie alimentaire (FEVIA), la distribution (COMEOS), les consommateurs (Test Achat). Piet Vanthemsche, président du Boerenbond, déclare que le Standard Vegaplan reprend des exigences essentiel d’expliquer cette démarche du secteur aux consommateurs, et faire preuve de transparence. Le consommateur sera peut être prêt à payer plus cher si on lui explique clairement la situation. Selon une enquête, les consommateurs seraient prêts à payer 5 % en plus pour des filières transparentes et des produits belges, mais ils se méfient des outils de marketing. légales mais également les règles qui définissent l’accès au marché. Afin d’éviter de se voir imposer des exigences supplémentaires venant des maillons en aval et des autorités, il était nécessaire de faire l’exercice au sein de Vegaplan. Reste néanmoins la question d’un prix durable pour les produits. Piet Vanthemsche a insisté sur le fait que des exigences spécifiques supplémentaires devront entraîner un surprix. La notion d’accès au marché exige que l’ensemble des agriculteurs suivent les mêmes règles pour être traités sur un même pied d’égalité. Il n’est pas correct de considérer de la même manière des produits certifiés et non certifiés, ceci crée une frustration pour des agriculteurs ayant fait l’effort de se faire certifier. Il a été convenu d’appliquer un système de base développé en concertation au niveau de la chaîne dans le but commun d’une plus grande efficacité. Il faut éviter une multiplication de certifications au niveau du marché. Le Standard Vegaplan est avant tout une approche ‘Business to Business’, qui reprend au sein d’un même système les attentes des différents maillons de la chaîne. Hendrik Vandamme, président de l’ABS, souligne qu’il n’est pas toujours facile d’expliquer aux membres les raisons pour lesquelles il faut accepter toujours davantage d’exigences. Certes, il s’agit d’un accès au marché. Mais on peut comparer les 3 aspects de la durabilité (Planet-People- Profit) à un trépied dont les 3 piliers doivent être équivalents, sinon le trépied ne tient pas debout. Autrement dit, l’aspect économique est tout aussi important que les deux autres aspects. Le consommateur souhaite davantage de durabilité pour les produits qu’il achète, mais le prix des produits est souvent décisif. Or, produire différemment constitue souvent un coût supplémentaire qui grève le prix de vente du produit. Pour Daniel Coulonval, président de la FWA, la certification en Wallonie est plus lente car initialement, la demande émanait principalement Ray Jacobsen, assistant du Prof. Gellynck de l’UGent - Departement of agricultural economics des secteurs des fruits et des légumes plus développés en Flandre. La durabilité est vécue comme une contrainte supplémentaire. L’aspect économique est donc essentiel. Il est important de pouvoir chiffrer l’impact financier des mesures prises au sein de l’exploitation dans le cadre du développement durable, mais également de valoriser les efforts réalisés par le monde agricole dans ce domaine. Romain COOLS, président de la PTMV, insiste sur le fait que le Standard Vegaplan est la base qui constitue l’accès au marché. Ceci a été établi dans un accord historique entre l’Agrofront et la PTMV dans lesquels les secteurs s’engageaient à promouvoir le système au bénéfice de toute la chaîne. La PTMV s’est engagée dernièrement à atteindre 90 % de fournisseurs certifiés Vegaplan d’ici 2018, même dans les secteurs où ceci est moins évident. Il souligne également que les secteurs des légumes surgelés et des pommes de terre occupent une position de leader au niveau mondial grâce à l’effort réalisé au niveau de toute la chaîne. L’intégration de la durabilité est un pas supplémentaire qui devait être franchi afin de soutenir les exportations et répondre également à la demande de la distribution. Il est clair pour Romain COOLS que cette croissance sera profitable au secteur primaire en termes de revenus. En outre, l’agriculture durable peut aussi entraîner des réductions de coûts. Dirk Decoster, président d’honneur de la FEVIA, mentionne que les industries alimentaires ont leurs propres critères ‘durabilité’ qu’elles doivent respecter. Il est essentiel pour elles que les producteurs de matières premières tiennent également compte de ces aspects afin que l’ensemble de la chaîne ait une même démarche. Ceci doit absolument être réalisé de la façon la plus efficace. Plus de 50 % des produits sont exportés. L’intégration de la durabilité dans le système Vegaplan ajoute une plus-value indéniable visà-vis du client étranger. La reconnaissance par Ricardo Pacico, responsable du projet ADER pour la firme WalAgri Unilever du certificat Vegaplan constitue un signal très encourageant pour le secteur primaire. Nathalie De Greve, Manager gestion de produit et durabilité chez Comeos, estime que la démarche entreprise par Vegaplan est positive car basée sur les demandes du marché. Cette base pourrait être suffisante pour certains distributeurs; d’autres voudront peut-être se démarquer et pourraient venir avec des demandes plus spécifiques. Ce qui est fondamental c’est la communication. La distribution est le maillon le plus proche du consommateur. Elle doit effectivement pouvoir jouer un rôle pour mettre en avant les efforts fournis en matière de durabilité. Pour Jean-Philippe Ducart, porte-parole de Test-Achat, la durabilité n’est plus un choix de société mais une obligation. Les autorités doivent aussi être présentes dans le débat. Il ne faudrait pas que la certification soit un ersatz qui se substitue à une obligation légale. Ce système devrait donc être validé par les autorités, afin de permettre aux plus petites exploitations d’être intégrées en vertu d’une légitimité démocratique. Il est surtout Piet Vanthemsche souligne que le travail pédagogique vis-à-vis du consommateur est effectivement trop peu présent et qu’il reste important. Il tient à ajouter que dans le cadre du système Vegaplan, les autorités sont présentes au travers de la validation des exigences relatives à l’autocontrôle de l’AFSCA et des mesures développées par les Régions en matière de lutte intégrée et de conditionnalité. Il est important que le secteur primaire prenne l’initiative pour élaborer des mesures applicables dans les exploitations et permettre une situation ‘win/win’. R. Cools précise que les plans d’échantillonnage développés par certains secteurs ont été validés par l’AFSCA et que les données chiffrées sont publiques. Il regrette que les efforts réalisés par le secteur luimême et qui sont sous le contrôle des autorités ne soient pas toujours considérés à leur juste valeur par les organisations de consommateurs. La parole est ensuite donnée à l’assistance, dont un membre souligne l’importance de veiller à moins de gaspillage. Outre les efforts entrepris au niveau de la chaîne, le consommateur a également son rôle à jouer – des statistiques révèlent un gaspillage de 25 kg de produits annuellement/ personne !). Selon J.P. Ducart, il doit y avoir une réelle remise en cause d’un modèle de société : le «mieux consommer» doit se substituer au « plus consommer ». En conclusion Antoon Wallays conclut l’après-midi en constatant que l’intégration des mesures en matière de lutte intégrée et de durabilité constitue un tournant important pour le secteur des matières végétales. Il tient à remercier les membres du conseil d’administration de Vegaplan et de la PTMV pour leur contribution active dans ce projet ainsi que le backoffice de Vegaplan et les membres du groupe de travail. Pour terminer, le Président de Vegaplan annonce aussi que désormais, le Standard ne s’appellera plus GIQF, IKKB ou ICQM, mais tout simplement le ‘Standard Vegaplan’. Le Président dévoile aussi le nouveau logo qui va de pair avec ce changement d’appellation et qui exprime mieux le dynamisme du secteur. Ce nouveau logo ornera le site internet, lui aussi renouvelé et rendu plus convivial. L’accaparement des terres soulevé à la Chambre des Représentants L’achat massif de terres agricoles en Afrique ou d’autres régions du monde, comme l’Amérique du Sud, par des institutions financières, des multinationales ou des Etats souverains, comme la Chine, suscite depuis des années les plus vives appréhensions de la part de diverses ONG. Et dans la foulée, de quiconque est préoccupé par la souveraineté alimentaires des pays les moins favorisés de la planète. La députée fédérale Christiane Vienne s’est émue de la possible implication des banques belges, ou présentes en Belgique, dont le financement de ces opérations d’accompagnement de terres agricoles. Le problème est énorme, aux de Christiane Vienne : de 2000 à 2010, l’accaparement de terres aurait représenté près de 203 millions d’hectares, soit 65 fois la surface de la Belgique. Voici les explications apportées par le Ministre des Finances, Koen Geens. soumise à l’analyse du parlement. Le Ministre des Finances rappelle qu’il existe dès à présent un cadre réglementaire qui s’applique aux fonds d’investissement et qui prévoit des obligations de transparence. L’article 58 de la loi du 3 août 2012 prévoit notamment que le prospectus précise dans quelle mesure sont pris en compte les aspects sociaux, éthiques et environnementaux dans la mise en œuvre de la politique d’investissement. L’article 88, § 1 de la même loi précise que tout organisme de placement collectif publie un rapport annuel et un rapport semestriel devant contenir une information sur la manière dont ont été pris en considération des critères sociaux, En fait, c’est une étude du Centre National Christiane Vienne. Koen Geens indique que environnementaux et éthiques dans la gestion de la Coopération au Développement (CNCD) l’étude en question rejoint la problématique des des ressources financières ainsi que dans l’exerqui a fait état des informations rapportées par investissements socialement responsables déjà cice des droits liés aux titres en portefeuille. Le projet de règlement européen PRIPs (Packaged retail investment products) visant à accroître la transparence des informations offertes aux investisseurs financiers contient par ailleurs des dispositions générales visant à assurer une meilleure information des épargnants sur l’impact de leurs investissements envisagé sous l’angle social et environnemental. La Belgique soutient cette initiative. Au vu de cette réponse ministérielle, on conclura que la problématique est loin d’être réellement éclaircie. 13 FÉVRIER 2014 - Pleinchamp 9 CULTURES Maïs: quelles variétés au sud du sillon Sambre Après avoir publié les résultats des essais variétaux «maïs fourrage» pour la Basse et Moyenne Belgique ainsi que les résultats «maïs grain», voici maintenant une synthèse basée sur les essais 2013 du Cipf et de CPL-Vegemar pour les variétés très précoces à demi-tardives testées cette fois au sud du Sillon Sambre et Meuse. tardives peuvent convenir sur un versant sud tandis que des variétés plus précoces seront préférées en cas d’exposition au nord. En Gaume, en Famenne, en Condroz et en régions herbagères favorables, des variétés précoces à demi-précoces conviennent généralement. En Ardenne et dans les endroits moins Au sud du sillon Sambre & Meuse, comme fois accélérer la maturité. Il faut pourtant éviter favorables des autres régions, les variétés ultra ailleurs dans le pays, l’année 2013 a été mar- de dépasser les 36 % de matière sèche. Si l’on précoces et très précoces offrent une sécurité. quée par des contrastes importants au niveau sème plusieurs variétés sur la même parcelle, il Il est également important de prendre en météorologique. Le maïs n’a pas rencontré les faut veiller à ce qu’elles soient de précocité fort compte la résistance à la fusariose, la résistance meilleures conditions climatiques pour son développement. Les rendements des parcelles situées au sud du sillon Sambre & Meuse sont en général plus faibles que ceux obtenus en 2012. Dans la plupart des situations, le maïs a été récolté à une teneur en matière sèche suffisante ou presque excepté en Ardenne. En Condroz, les rendements par hectare variaient de 9.3 à 16.6 tonnes de matière sèche (33.0 % de M.S). En Famenne, les rendements en matière sèche variaient de 13.3 à 15.4 tonnes (37.0 % de M.S). Dans les autres régions, le rendement était de l’ordre de 15.2 t/ha (35.8 % de M.S) en Région herbagère et de l’ordre de 8.2 à 10.7 tonnes en Ardenne à 27.9 % de M.S après les gelées de fin octobre. Le choix variétal Le rendement est un critère de choix fort important mais pas suffisant. Il est indispensable de choisir des variétés de précocité telle qu’elles puissent être récoltées à un stade de maturité proche de l’optimum (32 à 35 %). Dans les régions les plus favorables (Famenne, Condroz, Gaume), un été favorable et des températures douces en fin de saison peuvent par- proche. Mélanger une variété à 40 % de matière sèche avec deux à 32 % ne donne pas une garantie de conservation. L’indice de précocité sera également choisi en fonction de la date de semis, des conditions pédoclimatiques de la région et de l’exposition des parcelles. Des variétés plus 9DULpWpV WUqV SUpFRFHV 6< )((',723 /* 72.$/$ /* (6 .,5$ 3 '.& .$-816 6&+2%%, &6 9DULpWpV SUpFRFHV 0$//25< /* /* *(2;; /* &/$8',1,2 6< &20$1'25 0,//(6,0 (6 &/8('2 /* 6< 08/7,723 3 7(75$;; /* $0%526,1, +<% 521$/',1,2 .,3$5,6 '.& 9DULpWpV GHPLSUpFRFHV 6< 81,723 1. 6,*081' (6 &2&.3,7 7255(6 HQ WKD RX .YHPKD 0R\HQQH GHV WpPRLQV WpPRLQV /* /* 1. 3(5)250 HW 521$/',1,2 / DWWULEXWLRQ GX JURXSH GH SUpFRFLWp SRXU FKDTXH YDULpWp HVW HIIHFWXp VXU EDVH GHV HVVDLV GHV GHUQLqUHV DQQpHV /HV UpVXOWDWV GH YDOHXUV DOLPHQWDLUHV SRUWHQW VXU OLHX[ )UDQFKLPRQW 7K\OH&KkWHDX HW :DU]pH /HV UpVXOWDWV GHV YDULpWpV /* /* 6FKREEL &6 HW 6< )HHGLWRS SRUWHQW VXU OLHX[ VXLWH j GHV SUREOqPHV LPSRUWDQWV GH EULV GH WLJHV j 6RLURQ &HWWH V\QWKqVH HVW UpDOLVpH j SDUWLU GHV HVVDLV GX &,3) HW &3/9(*(0$5 10 Pleinchamp - 13 FÉVRIER 2014 5HQGHPHQW pQHUJpWLTXH .9(0KD YDO 5HO 9(0 SDU NJ GH 06 YDO 5HO 'LJHVWLELOLWp GH OD PR 9DOHXU QXWULWLYH 7HQHXU HQ DPLGRQ 3ODQWHV FKDUERQQpHV OLHX[ FRW 7HQHXU HQ PDWLqUH VqFKH SODQWH HQWLqUH 5HQGHPHQW HQ 06 SODQWH HQWLqUH 9DO 5HO 9DULpWpV DQQpHV G HVVDL HQ UpVHDX GH EDVH 6\QWKqVH 9DULpWpV WUqV SUpFRFHV j GHPLWDUGLYHV 6XG GX 6LOORQ 6DPEUH HW 0HXVH Les essais sont implantés en blocs aléatoires (4 répétitions) et les parcelles sont semées en 4 rangs dont seuls les deux rangs centraux sont pesés, échantillonnés, séchés et analysés. Les analyses de valeurs alimentaires ont été réalisées avec la collaboration du Département Valorisation des productions agricoles du Centre Wallon de Recherches Agronomiques de Gembloux et de la Station Provinciale d’Analyses Agricoles de Tinlot (province de Liège). Ces analyses sont soutenues financièrement par le Centre Pilote Maïs. Variétés très précoces Ces variétés conviennent aux régions d’Ardenne (sous 450 m d’altitude), dans des zones plus froides du Condroz ou de Famenne ou en cas de semis après le 5-10 mai dans des régions plus favorables. Bonne entrée dans ce réseau pour la nouveauté Sy Feeditop qui procure le rendement le plus élevé aussi bien en matière sèche qu’en KVEM/ ha. Pour sa deuxième année d’essai, confirmation d’un très bon potentiel de rendement en matière sèche pour la variété Lg 30217. Bonnes valeurs nutritives combinées à un excellent rendement énergétique par hectare. Cette variété peut être sensible aux bris de tiges en fin de saison dans certaines conditions. Relevons le bon potentiel de rendement en matière sèche de la nouveauté Tokala ainsi qu’un au charbon, la teneur en amidon et la digestibiexcellent rendement énergétique. La digestibililité de la matière organique car des différences té de cette variété figure parmi les meilleures de variétales importantes peuvent exister. ce groupe. Les variétés Sy Feeditop, Lg 30217 et Tokala Nouvelle organisation du réseau confirment également de bons résultats dans le réseau de base 2013 en Basse et Moyenne Par le passé, le Cipf et le CPL-Vegemar réaBelgique. lisaient leurs propres essais au sud du sillon La variété Lg 30211, un peu moins productive Sambre & Meuse. Depuis 2013, ces deux orgaque la moyenne des témoins, mérite l’attention nismes collaborent et mettent en commun leurs en raison de sa bonne valeur alimentaire. On résultats au sein du réseau Sud Sillon Sambre note également une digestibilité de la matière & Meuse. Les objectifs sont identiques à ceux organique très élevée pour les variétés DKC3333 qui ont guidé la réforme des réseaux de base et Sunshinos. fourrage et grain. Le Cipf s’est aussi chargé de la coordination des activités et de la synthèse des Variétés précoces résultats de ce réseau. En 2013, 34 variétés de précocité contrastées Les variétés de ce groupe conviennent à de ont été testées et comparées à quatre témoins nombreuses régions sauf au-delà de 400 m d’aldans ce réseau: Lg 30211 (très précoce), Lg 30223 titude où leur maturité n’est pas assurée chaque et Ronaldinio (précoces), Nk Perform (demi-précoce). Cinq lieux du sud du pays ont été retenus pour la synthèse des résultats 2013: Thy-leChâteau et Warzée en Condroz, Franchimont en Famenne, Soiron en Région herbagère et Etalle en Gaume. année. On évitera de les semer après le 10 mai. Très bonne entrée dans ce réseau pour la nouveauté Mallory. Elle offre un excellent rendement en matière sèche et en énergie par ha. Mallory possède également une bonne digestibilité de la matière organique. NÉCROLOGIE Monsieur Marcel BRAGARD, époux de Marie-Ange ROEBROEKS Né à Aubel le 17 janvier 1941 et y décédé 8 février à l’âge de 73 ans Le défunt était le papa d’Emmanuel Bragard, président de la Section Locale de Herve Aubel Rue Hostert 14 à 4880 Aubel *** & Meuse? 6XG GX 6LOORQ 6DPEUH HW 0HXVH 6\QWKqVH VXU DQV 0DQGDWDLUH RX GLVWULEXWHXU $QQpH G LQVFULSWLRQ DX FDWDORJXH EHOJH RX HXURS 5HQGHPHQW 0DWLqUH VqFKH 06 SODQWH 'LJHVWLE GH OD PR SODQWH HQWLqUH HQWLqUH YDO UHO YDOHXU UHODWLYH DQV DQV DQV 6>ÀjÌjà ÌÀmà «ÀjVVià 9DULpWpV WHVWpHV DQV /* /LPDJUDLQ % 9DULpWpV WHVWpHV DQV (XU ) /LPDJUDLQ /* (6 .,5$ % %DUHQEUXJ .$-816 .ZV (XU ) 1RXYHOOHV YDULpWpV (XU ) 6< )((',723 $YHYH 72.$/$ (XU ' /LPDJUDLQ 3 3LRQHHU (XU ' (XU ), '.& 0RQVDQWR (XU ' /LPDJUDLQ 6816+,126 (XU ' 6&+2%%, &6 &DXXVDGH 6>ÀjÌjà «ÀjVVià 9DULpWpV WHVWpHV DQV (XU ) *(2;; 3KLOLS6HHGV /* 6FDP % /* % /LPDJUDLQ 521$/',1,2 .ZV % 6< 08/7,723 $YHYH (XU 3/ $0%526,1, .ZV (XU $ /* % /LPDJUDLQ '.& 0RQVDQWR (XU , 9DULpWpV WHVWpHV DQV (XU ) 0,//(6,0 .ZV /* /LPDJUDLQ (XU '1/ 1RXYHOOHV YDULpWpV (XU ) 0$//25< 4XDUWHV /* (XU ) /LPDJUDLQ &/$8',1,2 .ZV (XU ' 6< &20$1'25 6FDP (XU ' (6 &/8('2 (XU ' %DUHQEUXJ 3 3LRQHHU (XU 6. 7(75$;; 3KLOLS6HHGV (XU 6. +<% .,3$5,6 .ZV (XU ) 9DULpWpV GHPLSUpFRFHV 9DULpWpV WHVWpHV DQV 1. 6,*081' $YHYH (XU 6. 1. 3(5)250 6FDP (XU ) 7255(6 $YHYH % 1RXYHOOHV YDULpWpV (XU ' 6\QJHQWD 6< 81,723 (6 &2&.3,7 (XU ) /LPDJUDLQ GH O DQQpH WKD WKD WKD GHV WpPRLQV WKD WKD WKD WpPRLQV YDULpWpV FRPPXQHV DX[ DQQpHV $PEURVLQL '.& *HR[[ /J /J /J /J 1N 3HUIRUP 1N 6LJPXQG 5RQDOGLQLR 6\ 0XOLWRS HW 7RUUHV Testée depuis 4 ans, Lg 30222 procure également de très bons résultats sur le plan quantitatif et qualitatif. Au niveau de la digestibilité de la matière organique, elle confirme ses excellents résultats obtenus les années précédentes. Pour sa deuxième année d’essai, la variété Lg 30220 offre des résultats comparables à ceux de Lg 30222 sur le plan quantitatif et qualitatif. Testée depuis 3 ans, la variété Geoxx confirme ses qualités affichées les années précédentes et procure un excellent rendement tant en matière sèche qu’en KVEM/ha. On note une digestibilité de la matière organique inférieure à celle des témoins. Relevons également les excellents résultats de la variété Lg 30223 testée depuis 3 ans. Comme en 2012, elle a également une excellente digestibilité de la matière organique figurant parmi les plus élevées de ce groupe. Les variétés Mallory, Lg 30220, Geoxx et Lg 30223 confirment également de bons résultats dans le réseau de base 2013 en Basse et Moyenne Belgique. Les nouveautés Claudinio et Sy Comandor procurent de très bons rendements en matière sèche combinés à des rendements énergétiques intéressants. Sy Comandor offre une digestibilité un peu inférieure à la moyenne. On note également une digestibilité de la matière organique plus faible pour Claudinio. Confirmation d’un bon potentiel de rendement en matière sèche pour la variété Millesim testée depuis 2 ans. Digestibilité de la matière organique un peu inférieure à la moyenne des témoins. Rendement en matière sèche très régulier d’une année à l’autre. Parmi les variétés ayant un rendement en matière sèche proche de celui des témoins, on peut citer la nouveauté Es Cluedo. Digestibilité un peu inférieure à la moyenne des témoins. Un peu moins productives, les variétés Lg 30218, Lg 30224 et la nouveauté P7905 méritent Monsieur Arsène LENNERTZ, époux d’Angèle MEYERS Né à Sippenaeken le 1er mars 1937 et décédé à Eschweiler le 27 janvier 2014 *** La Fédération Wallonne de l’Agriculture ainsi que Plein Champ présentent leurs sincères condoléances aux familles NAISSANCE Bénédicte HENROTTE et Ludovic CHARLIER sont heureux de vous annoncer la naissance de SARAH, née le 7 février 2014 Rue de France 13 à 5560 Mesnil-St-Blaise Ludovic est membre du personnel du CGTA. La Fédération Wallonne de l’Agriculture ainsi que Plein Champ présentent leurs sincères félicitations aux heureux parents et grands-parents. l’attention en raison de leur excellente digestibilité de la matière organique. Variétés demi-précoces à demi-tardives Ces variétés peuvent convenir dans les régions les mieux exposées en Condroz, Famenne et Gaume. Elles conviennent parfaitement pour des semis jusqu’au 5 mai. Les plus tardives d’entre elles (voir tableau de résultats) présentent des risques de maturité insuffisante en cas d’année plus froide, ce qui se traduira souvent par des valeurs alimentaires plus faibles dans ce groupe de précocité. La variété Sy Unitop est une nouvelle variété qui semble prometteuse en procurant le meilleur rendement en matière sèche de ce groupe de précocité. Excellent rendement énergétique combiné à une digestibilité inférieure à la moyenne des témoins. Pour sa cinquième année d’essai, la deuxième place revient à Nk Sigmund qui offre des résultats très proches de ceux de Sy Unitop. La digestibilité de la matière organique est inférieure à la moyenne des variétés témoins. Bonne régularité de rendement en matière sèche d’une année à l’autre. On relève également les bons résultats quantitatifs des variétés Es Cockpit et Nk Perform ainsi que leurs plus faibles teneurs en matière sèche. On les réservera donc pour des terres bien exposées et on préférera un semis précoce à une densité de semis comprise entre 90.000 et 95.000 grains/ha afin d’assurer une maturité suffisante à la récolte. Sur le plan sanitaire, toutes les variétés testées dans ce réseau se sont bien comportées vis-à-vis du charbon en 2013. Michaël Mary et Guy Foucart (CIPF); Maxime Hautot (CPL-VEGEMAR) 13 FÉVRIER 2014 - Pleinchamp 11 ÉLEVAGE Marché-concours de Ciney Taureaux du 27/04/2013 au 18/05/2013: Ducal de la Bocheroule (Nickel) à PirsonDemarche et Pierre, Sovet Attribué du Vine (Attribut) à Vanoverschelde Dominique, Somme-Leuze Taquin de Montigny (Maserati) à Baudoin Christ., Firmin & Dubois Ch., Sinsin Taureaux du 06/04/2013 au 26/04/2013, série du champion des veaux mâles: Abruti de Beauloye (Nodule) à Pestiaux Alain, Cognelée Domino de la Bocheroule (Impérial) à PirsonDemarche et Pierre, Sovet Javanais du Sart (Impérial) à Baudoin Roland, Franc-Waret Taureaux du 15/12/2012 au 08/01/2013, série du champion des jeunes taureaux: Réveillon des Volées (Noceur) à Lebrun - Cloet Philippe, Saint-Gérard Saphir des Volées (Noceur) à Lebrun - Cloet Philippe, Saint-Gérard Déniché de la Bocheroule (Argan) à PirsonDemarche et Pierre, Sovet Taureaux du 02/12/2012 au 14/12/2012: Maxime de la Grigeoule (Lennie) à Thiange Association, Custinne Canon de la Béole (Argan) à Wilmet-Verlee Soc. Agricole, Flostoy Madrilène de Maffe (Quiet) à Renard Bernadette et Ramelot V., Maffe Taureaux du 16/11/2012 au 01/12/2012: 9204 Bref du Coin (Flirter) à Mailleux J., F. et Dony J-M., B., Havelange Crelan du Fond de Bois (Adajio) à Lamontagne Léon et Manu, Somme-Leuze Super de Mehogne (Sheriff) à Sepul Jean et JeanPhilippe, Méan Taureaux du 28/10/2012 au 15/11/2012: Kamel de la Haie Madame (Impérial) à Lambert Ruddy et François, Leignon Eolien de Clair Bois (Blue Berry) à Crepin Guillaume, Villers-Le-Gambon Malik 4332 de Jassogne (Lennie) à Crevits Rik et Florence, Crupet Taureaux du 19/10/2012 au 27/10/2012: Eden de la Chevalerie (Adajio) à Piret Claude, Dréhance Marius de la Grigeoule (Sheriff) à Thiange Association, Custinne Dédié de la Bocheroule (Panache) à PirsonDemarche et Pierre, Sovet Taureaux du 22/09/2012 au 30/09/2012: Elite de la Chevalerie (Benhur) à Piret Claude, Dréhance Ibérique du Sart (Adajio) à Baudoin Roland, Franc-Waret Ecusson de la Chevalerie (Jonas) à Piret Claude, Dréhance Taureaux du 11/09/2012 au 21/09/2012, série du champion des taureaux moyens: Joyau 4758 du Pachis à la Motte (Impérial) à Ledoux Frères, Assesse Magot 4295 de Jassogne (Impérial) à Crevits Rik et Florence, Crupet Adopté de Warichet (Crack) à Mathieux Emile et Vincent, Warisoulx Taureaux du 29/08/2012 au 10/09/2012: Adjectif de Warichet (Adajio) à Mathieux Emile et Vincent, Warisoulx Adjugé de Warichet (Saxophone) à Mathieux Emile et Vincent, Warisoulx 6718 de la Haie Madame (Adajio) à Lambert Ruddy et François, Leignon Taureaux du 19/07/2012 au 28/08/2012: Magistral 4285 de Jassogne (Panache) à Crevits Rik et Florence, Crupet Buffalo du Champ Bouval (Benhur) à Crepin Guillaume, Villers-Le-Gambon Espoir de Clair Bois (Adajio) à Crepin Guillaume, Villers-Le-Gambon Taureaux du 01/06/2012 au 18/07/2012: Séducteur de Mehogne (Joujou) à Sepul Jean et Jean-Philippe, Méan Lutin 4256 de Jassogne (Benhur) à Crevits Rik et Florence, Crupet Pèlerin du Tige de Borlon (Libéral) à Adam AnneMarie, Honnay Taureaux du 15/05/2012 au 31/05/2012: Maestro de la Grigeoule (Juventus) à Thiange Association, Custinne Agile des Templiers (Joker) à Adam Anne-Marie, Honnay Khalife d’Herbuchenne (Empereur) à de Bonhome Benoit et Quentin, Dinant Taureaux du 20/04/2012 au 14/05/2012: Pluton du Sartay (Impérial) à Delvaux Bernard, Schaltin Tonner du Relais de la Poste (Impérial) à Ferme Du Relais (Gilles Catherine), Emptinne Joueur 4717 du Pachis à la Motte (Hardi) à Ledoux Frères, Assesse Taureaux du 01/03/2012 au 19/04/2012: Vénérable du Bois d’Esneux (Kubitus) à Crevits Marc, Boninne Kaki de la Haie Madame (Tyson) à Lambert Ruddy et François, Leignon Distinct de Malaise (Spécimen) à Baudoin Didier, Flostoy Taureaux du 01/01/2012 au 29/02/2012: Câlin de Malihoux (Impérial) à Wilmet-Verlee Soc. Agricole, Flostoy Kaki d’Herbuchenne (Empereur) à De Bonhome Benoit et Quentin, Dinant Pinson du Tige de Borlon (Libéral) à Adam AnneMarie, Honnay Taureaux du 19/07/2011 au 31/12/2011, série du champion des taureaux adultes: Indien du Pachis A la Motte (Spécimen) à Ledoux Frères, Assesse Access de Somme (Joker) à Adam Anne-Marie, Honnay Moloko de Maffe (Quiet) à Renard Bernadette et Ramelot V., Maffe Génisses du 01/01/2013 au 18/03/2013: Célèbre de la Béole (Attribut) à Wilmet-Verlee Soc. Agricole, Flostoy Polka de Ceroux (Attribut) à De Bleecker Maria Épse De Cnop Cl., Céroux-Mousty Naïveté de Maffe (Aaron) à Renard Bernadette et Ramelot V., Maffe Génisses du 19/05/2012 au 14/09/2012: Histoire de Sorinne (Machinal) à Tasiaux Maxime et François Ass., Sorinne-la-Longue Kitchen de la Haie Madame (Langoureux) à Lambert Ruddy et François, Leignon Génisses du 19/11/2011 au 18/05/2012, série de la championne des génisses: Caracole de la Bocheroule (Impérial) à PirsonDemarche et Pierre, Sovet Kir de la Haie Madame (Joker) à Lambert Ruddy et François, Leignon K Way de la Haie Madame (Martinet) à Lambert Ruddy et François, Leignon 12 Pleinchamp - 13 FÉVRIER 2014 ZWISCHEN EUPEN UND SANKT VITH Kooperationsvertrag für Landwirte in Not in Schoppen unterzeichnet Am 14. Januar 2014 konnte der Kooperationsvertrag, welcher die definitive Zusammenarbeit zwischen der Verbraucherschutzzentrale (VSZ) und der wallonischen Organisation Agricall asbl beschreibt, unterzeichnet werden. Die Unterzeichnung fand in Anwesenheit der DG-Minister, Isabelle Weykmans und Harald Mollers sowie Laurence Leruse für die Agricall asbl und René Kalfa für die VSZ der DG, auf einem Bauernhof in Schoppen statt. Entschuldigen lies sich der Regionalabgeordnete Edmund Stoffels. Die Wahl des Ortes konnte symbolträchtiger nicht sein, da hierdurch die Authentizität der Landwirtschaft besonders unterstrichen wurde. Der Vertragsrahmen umfasst explizit für Landwirte eine zugeschnittene Bündelung verschiedenster Hilfsmöglichkeiten. Erstmals wird in Not geratenen Landwirten aus der DG, schnell, diskret und unbürokratisch geholfen werden können. Auf diese Weise erhalten sie durch den Vertragsabschluss Zugang zur Leistungsvernetzung beider kooperierender Anbieter (VSZ & Agricall). Ergo steht nun ein Rundumpaket zur Verfügung, welches Finanzanalysen, Lösungswege aus der Schuldenfalle sowie Weiterbildungs- und Sensibilisierungsmaßnahmen impliziert. Dabei übernimmt die VSZ für die deutschsprachigen Landwirte die Vermittlerrolle und tritt somit als Referenzzentrum, vornehmlich bei Überschuldungen, auf dem Gebiet der DG in Erscheinung. Constanze Göbel-Zehrt Betriebe dem Tierwohlbefinden dienlich sei. Verhandlungen mit Gläubigern führt, den Weiter müssen die inhaltlichen Schwerpunkte Rückzahlungsplan erstellt und gegebenenfalls eider VSZ und deren Bekanntheitsgrad erwei- nen Antrag auf kollektive Schuldenregelung an das tert werden, damit möglichst viele betroffene Arbeitsgericht einreicht. Dabei wird Agricall die notBürger Zugang zu den Dienstleistungen fänden. wendigen landwirtschaftlichen Daten ermitteln. Auch stehen alle anderen Dienstleistungen der Erschwerend sei die Sprachbarriere für deutschsprachige Hilfesuchende, welche demzufolge Verbraucherberatung der VSZ zur Verfügung. Im Besonderen sei hier die Unterstützung im die angebotenen Leistungen nicht im vollen Umfang nutzen können. Denn bis dato standen Energiebereich genannt. Dabei sei daran erindie Dienstleistungen leider nur in französischer nert, dass die VSZ genau vor sechs Monaten ein Sprache zur Verfügung. Auch, dass dieses Problem Abkommen mit dem föderalen Ombudsmann noch Aktuell ist, wird keiner bestreiten wollen. des Energiesektors abgeschlossen habe. Auch seiMittlerweile jedoch kann es größtenteils ausge- en weiterhin schwierige Zeiten zu erwarten, sei es durch den Wegfall der Milchquote sowie die räumt werden, da die VSZ die Vermittlerrolle überReform der Gemeinsamen Agrarpolitik (GAP). nimmt. Sie ist die erste Anlaufstelle für deutschDas derzeit hinter verschlossenen Türen versprachige Landwirte. Laut Kooperationsvertrag handelte Freihandelsabkommen zwischen ist die Verbraucherschutzzentrale VoG auf dem der EU und den USA allerdings, birgt graGebiet der Deutschsprachigen Gemeinschaft vierende Wettbewerbsnachteile für unsere Ansprechpartner für die hiesigen Landwirte. Landwirte. Die Gefahr scheint groß, dass durch Andererseits tritt die VSZ als Experte in dieses Freihandelsabkommen das Niveau des Erscheinung, wenn es um Überschuldung und kol- Verbraucherschutzes in der Europäischen Union lektive Schuldenregelung geht. deutlich gesenkt würde. Im Kontext gesehen, erhält Weiterführenden Informationen gibt es unter: dieses Abkommen eine noch größere Bedeutung, www.vsz.be oder unter www.agricall.be. so René Kalfa abschließend. in Not einsetze. Bisher waren die Aktivitäten leRené Kalfa, erklärte weiter, dass die VSZ die gediglich auf das Gebiet der Französischsprachigen samte Übersetzungsarbeit übernehmen wird Gemeinschaft beschränkt, welches sich glücklicher- und die lokalen Verbindungen erstellt. Zudem weise mit dem heutigen Tag ändert. Kostenlose, zielorientierte Unterstützungsmaßnahmen werden für Betroffene von der Agricall asbl angeboten. Treffend sind möglichen Gründe für diese Probleme innerhalb des Sektors im Magazin 58/13 von Dezember 2013 der VSZ wie folgt beschrieben: Kredite mit horrenden Summen werden aufgenommen und der Druck auf den Landwirt nimmt Illegaler Artenhandel (grenzüberschreitender Schmuggel biologischer enorm zu, auch und vor allem in psychischer Ressourcen, die aus der Wildnis entnommen werden, einschließlich des Handels Hinsicht. Nicht selten geraten landwirtschaftliche Betriebe in eine fatale „Wachstumsspirale“, ohne mit Holz und im Meer lebenden Arten) ist nicht neu, hat sich aber in den letzten Licht am Ende des Tunnels zu sehen. Folgen sind zu- Jahren hinsichtlich von Ausmaß, Art und Auswirkungen erheblich verändert. nehmende Konzentrationsprozesse, die nicht selIllegaler Artenhandel hat sich infolge einer star- Pflanzenarten, in dem das organisierte Verbrechen ten zu Lasten kleinbäuerlicher Familien gehen. Mit anderen Worten: Die Großen werden immer größer ken und immer weiter zunehmenden Nachfrage eine immer größere Rolle spielt. Umweltkommissar PotoÐnik erklärte dazu: „Der und die Kleinen immer kleiner, bis sie bald ganz von nach Produkten aus wild lebenden Tieren und der Bildfläche verschwinden. Pflanzen – vor allem in Asien – weltweit zu ei- illegale Artenhandel hat verheerende Folgen für Es dürfte demnach mehr als schwierig wer- ner der profitabelsten grenzüberschreitenden die Artenvielfalt, und wir müssen Wege finden, um den, aus derartigen Extremsituationen ohne Straftaten entwickelt. Ein kaum ausgeprägtes entschlossener zu handeln. Diese Konsultation ist Unterstützung neuerlich in normales Fahrwasser Problembewusstsein, die geringe Gefahr, ent- ein erster Schritt, um unser Konzept grundlegend zu kommen. Dabei ist die Schwellenangst ein en- deckt zu werden, und milde Strafen machen ei- ändern zu können.“ ger Begleiter Betroffener. Hilfe Dritter in Anspruch nen solchen Handel vor allem für das organisierte Die EU-Kommissarin für Inneres, Cecilia zu nehmen ist nicht nur für Landwirte, selbst nach Verbrechen in der EU und andernorts attraktiv. Malmström, führte aus: „Illegaler Artenhandel ist umfassender Kenntnis der Lage, oft genug unIn Afrika hat sich die Zahl der illegal erlegten für das international organisierte Verbrechen sehr vorstellbar. Spätestens in dieser Situation bietet Elefanten in den letzten zehn Jahren verdoppelt. profitabel. In der Mitteilung, die wir heute annehAgricall - natürlich auf Wunsch eines jeden - um2012 fielen 22 000 Elefanten Wilderern zum Opfer. men, wird erläutert, wie alle Akteure zusammenarfassende Begleitung an. Primär verschaffen sich In Südafrika hat die Wilderei von Nashörnern alar- beiten können, um solche Straftaten wirkungsvoldie Experten einen ersten Überblick durch den mierende Ausmaße angenommen – Hörner dieser ler zu bekämpfen.“ Blick in die Bücher, um die finanzielle Situation Um den illegalen Handel mit frei lebenden Tiere werden für 40 000 EUR pro Kilo verkauft, und zu beleuchten. Im Rahmen der durchgeführten Tieren und Pflanzen zu bekämpfen, hat die EU in Finanzanalyse werden in einem weiteren Schritt auf Sumatra handelt es sich mittlerweile bei 78 % alden letzten zehn Jahren strenge Bestimmungen für verschiedene Lösungswege erarbeitet. Wichtige ler toten Tiger um Fälle von Wilderei. Tigerknochen den Handel mit gefährdeten Arten verabschiedet lassen sich für 900 EUR pro Kilo verkaufen. Eckpfeiler sind neben den Weiterbildungs- und Illegaler Artenhandel trägt zur Vernichtung und die Bekämpfung des illegalen Artenhandels Sensibilisierungsmaßnahmen auch die Stressin Entwicklungsländern umfassend unterstützt. oder Konfliktbewältigung, welche bis hin zur der Lebensgrundlage von zahlreichen marginaVerwaltung und Planung landwirtschaftlicher lisierten Bevölkerungsgruppen, einschließlich In Afrika hat die EU in den letzten 30 Jahren über Arbeiten reicht. Einen weiteren Schwerpunkt stellt lokaler Gemeinschaften, bei. In Verbindung mit 500 Mio. EUR für die Erhaltung der Artenvielfalt die psychologische Hilfe dar. Betroffene können Korruption und illegalen Finanzströmen, etwa aufgewendet, und laufende Projekte werden mit dieses Angebot kostenlos bis zu fünf Sitzungen infolge von Geldwäsche, werden die rechtsstaat- rund 160 Mio. EUR finanziert. Kampf gegen den Anstieg des illegalen Artenhandels Der Regionalabgeordnete Edmund Stoffels wies in jüngster Vergangenheit auf verstärkt auftretende Probleme, mit denen auch die Landwirtschaft der DG zu kämpfen haben, hin. In seiner Funktion als beratendes Mitglied für Unterricht, Ausbildung und Beschäftigung im DG-Parlament war er es, der den Kontakt zu Minister Harald Mollers aufnahm. Ergo sorgte er für die Initialzündung, um auf dringenden Handlungsbedarf hinzuweisen. Folglich ebnete der DG-Minister für Familie, Gesundheit und Soziales, Harald Mollers - selbst Spross einer Bauernfamilie - den Weg für eine rasche Arbeitsaufnahme zwischen VSZ und Agricall für hiesige in Not geratene Landwirte. Da die VSZ in den Zuständigkeitsbereich von Ministerin Isabelle Weykmans (Kultur, Medien und Tourismus) fällt, waren die Weichen für eine affirmative Zusammenarbeit auf ministerieller Ebene gestellt. Mit der Unterzeichnung dieser Konvention kann man nun auf eine zeitnahe Umsetzung zurückblikken. Zufrieden zeigte sich der Minister in seiner kurzen Rede in welcher er betonte, dass die Landwirtschaft ein sehr komplexer Bereich sei. Als hohe Belastungen in der Landwirtschaft nannte er die besondere Steuergesetzgebung, die Organisation des Familienbetriebes, Milchpreisschwankungen, hohe Investitionen, einhergehend mit großer Arbeitsintensität. Eine von Agricall durchgeführte Studie ergab, dass immerhin 29 Prozent aller Landwirte in der Wallonie unter dem Burn-outSyndrom leiden. Diesen sich herauskristallisierenden negativen Besonderheiten möchte man nun angepasste positive Antworten geben können. Die Ministerin Isabelle Weykmans gratulierte allen am Vertragsabschluss beteiligten Akteuren. Sie sagte, dass die VSZ in ihrer Beratungsfunktion nun schon seit mehr als zwanzig Jahren auf dem Gebiet der DG tätig ist. Themenbezogen spielt sie für die Regionalentwicklung wie, Nachhaltigkeit und die Nutzungsmöglichkeiten, auch für die deutschsprachigen Landwirte, eine große Rolle. Durch bedarfsgerechtes Agieren ist es der VSZ durch diese Unterzeichnung nun noch besser möglich, die Landwirte dort abzuholen, wo sie stehen. Laurence Leruse, Vertreterin von Agricall sagte, dass ihre Organisation, mit Sitz in Namur, einen gemeinnützigen Auftrag auf dem Gebiet der Wallonischen Region ausführe. Das man sich bereits seit dem Jahr 2005 mit Nachdruck für Landwirte in Anspruch nehmen. Dabei kann der Psychologe vor Ort erscheinen oder es kann ein gemeinsames Treffen in Namur verabredet werden. Als weiteres Angebot kommt der von Agricall angebotene Vermittlungsdienst hinzu. Dieser erstreckt sich über schwierige Kommunikationsverhältnisse innerhalb der Familie, zwischen Ehepartnern, zwischen Betroffenen und Banken, öffentlichen Sozialhilfezentren, Städtebauverwaltungen oder anderen öffentlichen Einrichtungen. Hierbei sind die Landwirte stets in den Plan und die Abläufe eingebunden. Landwirte in Not können sich hier in der Deutschsprachigen Gemeinschaft an die Verbraucherschutzzentrale unter der Rufnummer 087/59 18 50 wenden. René Kalfa, der Geschäftsführer der VSZ, äußerte sich dahingehend, dass dieses heutige Abkommen von großer Bedeutung sei. Zudem stelle es eine verbesserte Dienstleistung sowohl für die VSZ als auch für Agricall und ganz besonders für den Landwirtschaftssektor in der DG dar. Im Zusammenhang stellte er fest, dass eine ausgewogenen Finanzsituation der liche Ordnung und eine verantwortungsvolle Lukrative Straftaten Staatsführung untergraben. Außerdem fördert der illegale Artenhandel die regionale Instabilität Straftaten im Zusammenhang mit frei lebenden in Zentralafrika, wo es Milizen gibt, die dadurch Tieren und Pflanzen sind äußerst lukrativ und werihre Tätigkeiten finanzieren. Er beeinträchtigt die den nur selten verfolgt. Die wachsende Nachfrage Artenvielfalt und bedroht dadurch die Gesundheit nach illegalen Erzeugnissen hat für einige bereits lebenswichtiger Ökosysteme. bedrohte Arten fatale Folgen. Angesichts der neuen Dimension des Problems stellt sich die Frage, wie Öffentliche Konsultation die EU den illegalen Artenhandel wirkungsvoller bekämpfen kann. Die Kommission möchte daher So hat die Europäische Kommission eine öffentliMeinungen zu zehn Fragen bezüglich des illegalen che Konsultation eingeleitet, um festzustellen, wie Handels mit wild lebenden Tieren und Pflanzen eindie EU den illegalen Artenhandel besser bekämpfen holen, unter anderem zu der Frage, ob der derzeikann. Sie reagiert damit auf den weltweit enormen tige Rahmen ausreicht, mit welchen Instrumenten Anstieg von Wilderei und Schmuggel, die bei einidie laufenden Bemühungen verstärkt werden gen Arten noch nie dagewesene Ausmaße erreicht könnten, wie insbesondere die EU helfen kann, wie haben. unsere Kenntnisse und Daten verbessert werden So wurden 2013 in Südafrika über 1000 können und ob strengere Sanktionen möglich sind. Nashörner gewildert im Vergleich zu 13 im Jahre Kommentare können bis zum 10. April 2014 ein2007, und das Horn dieser Tiere ist inzwischen wertgereicht werden über: http://ec.europa.eu/yourvoller als Gold. Die EU ist ein wichtiger Absatzmarkt voice/. und Umschlagplatz für den illegalen Handel mit Erzeugnissen aus wildlebenden Tier- und 13 FÉVRIER 2014 - Pleinchamp 13 MARCHÉS La colonne de gauche reprend les dernières cotations dispoCINEY nibles à la clôture du journal. La colonne de droite indique, 07/02/2014 entre parenthèses, les cotations du marché précédent. Sauf Bovins de boucherie/Taureaux(€/kg) indication contraire, les prix s’entendent hors TVA. 55% 1.70-1.80 BATTICE 08/02/2014 Bovins de boucherie/Taureaux(€/kg) CdP. - S 3.10-3.60 Assimilés - E 2.90-3.30 Bonne conformation - U 1.90-2.10 Taureaux 55% - R 1.30-1.60 Poids lourds - O 1.20-1.30 Bovins de boucherie/Vaches(€/tête) Bonne conformation - R 775-950 1re catégorie 45% - O 525-725 2e qualité 40% - P 150-300 De fabrication - PN-C Elevage/Vaches(€/tête) Vaches cdp de < 5 ans 1450-2050 Vaches cdp de > 5 ans 1350-1950 Bonnes Vaches Ordinaires 550-850 Vaches Ordinaires 250-450 Elevage/Veaux(€/tête) CdP. 500-775 Blanc-bleu 150-300 Bleus Holstein 80-130 Rouges 25-45 Noirs Bonne qualité 20-40 Noirs moyenne qualité N-C (775-950) (525-725) (150-300) N-C (1450-2050) (1350-1950) (550-850) (250-450) (500-775) (150-300) (80-130) (25-45) (20-40) N-C BRUGES 05/02/2014 Bovins de boucherie/Génisses(€/kg vif) CdP. - S 3.10-3.40 Assimilés - E 2.85-3 Bonne conformation - R 1.85-2.25 Ordinaires - P 1.35-1.55 Bovins de boucherie/Taureaux(€/kg vif) CdP. < 24 mois - 650 kg 3.50-3.65 CdP. > 24 mois - 650 kg 3.05-3.30 Assimilés 2.80-3.05 Bonne conformation, U 2.20-2.45 60% 1.95-2.05 55%, R 1.70-1.80 Holstein 1.45-1.60 Bovins de boucherie/Vaches(€/kg vif) CdP. label, < 78 mois 3.20-3.35 CdP. 2.95-3.15 Assimilées 2.55-2.75 Bonne conformation, R 2.20-2.45 55% 1.35-1.65 50% 1.10-1.25 De fabrication 0.85-1 14 Pleinchamp - (3.10-3.60) (2.90-3.30) (1.90-2.10) (1.30-1.60) (1.20-1.30) (3.10-3.40) (2.85-3) (1.85-2.25) (1.35-1.55) (3.50-3.65) (3.05-3.30) (2.80-3.05) (2.20-2.45) (1.95-2.05) (1.70-1.80) (1.45-1.60) (3.20-3.35) (2.95-3.15) (2.55-2.75) (2.20-2.45) (1.35-1.65) (1.10-1.25) (0.85-1) 60% 2-2.20 Assimilés 3.10-3.30 CDP 3.40-3.75 Bovins de boucherie/Vaches(€/kg) Fabrication 0.75-1.25 50% 1.40-1.60 55% 1.70-2.10 Assimilés 2.40-2.70 CDP 3.10-3.45 Bovins maigres/Génisses(€/tête) PN/PR - 180 à 250kg 175-275 PN/PR - 250 à 400kg 325-425 PN/PR - 400 à 500kg 375-575 PN/PR - pleines 1075-1575 BBB culard - 180 à 250kg 525-725 BBB culard - 250 à 400kg 950-1150 BBB culard - 400 à 500kg 1075-1475 Bovins maigres/Taureaux(€/tête) Ordinaires - 180 à 250 kg 240-500 Ordinaires - 250 à 320 kg 450-550 Ordinaires - 320 à 370 kg 530-650 Ordinaires - > 370 kg 600-750 Assimilés - 180 à 250 kg 560-715 Assimilés - 250 à 320 kg 690-840 Assimilés - 320 à 370 kg 590-990 Assimilés - > 370 kg 940-1140 CdP. - 180 à 250 kg 825-1025 CdP. - 250 à 320 kg 1100-1225 CdP. - 320 à 370 kg 1225-1350 CdP. - > 370 kg 1350-1550 Bovins maigres/Vaches(€/tête) PN/PR - Moyennes 225-920 Cat.II - Mixtes 900-1050 Cat.I - Mixtes 1200-1450 2 à 4 ans - CdP. 1350-2650 agées - CdP. 1250-2550 Veaux/Veaux ciney(€/tête) Pie Noir (PN) - 0-50 Pie Noir (PN) - Ordinaire N-C Pie Noir (PN) - Mâle N-C Pie Noir (PN) - Femelle N-C Pie Rouge (PR) - 0-60 Pie Rouge (PR) - Mâle N-C B.B.B. - Ordinaire 100-320 B.B.B. - Mâle N-C CdP. - Mâle 550-825 CdP. - Femelle 425-700 (1.70-1.80) (2-2.20) (3.10-3.30) (3.40-3.75) (0.75-1.25) (1.40-1.60) (1.70-2.10) (2.40-2.70) (3.10-3.45) (175-275) (325-425) (375-575) (1075-1575) (525-725) (950-1150) (1075-1475) (240-500) (450-550) (530-650) (600-750) (560-715) (690-840) (590-990) (940-1140) (825-1025) (1075-1225) (1225-1325) (1350-1500) (225-920) (900-1050) (1200-1450) (1350-2650) (1250-2550) (0-50) N-C N-C N-C (0-60) N-C (100-320) N-C (550-825) (425-700) Bovins de boucherie/Taureaux(€/100kg carcasse) A - S2 524.65 (524.65) A - S3 481.09 (481.09) A - E2 447.12 (447.12) A - E3 427.24 (427.24) A - U2 368.57 (368.57) A - U3 340.38 (340.38) A - R2 314.99 (314.99) A - R3 293.55 (293.55) A - O2 284.83 (284.83) A - O3 270.96 (271.38) Bovins de boucherie/Vaches(€/100kg carcasse) D - R2 289.12 (289.98) D - R3 282.48 (283.46) D - O2 258.70 (260.07) D - O3 250.56 (251.60) D - O4 242.74 (243.19) D - P2 209.21 (209.46) D - P3 194.85 (195.10) 8.60 (8.46) 6.92 (6.76) 5.88 (5.68) 3.90 (3.70) BRUXELLES 02/02/2014 Céréales/Blé tendre(€/t) panifiable 197 fourrager 196 Céréales/Escourgeon fourrager(€/t) 180 Céréales/Triticale(€/t) N-C (196) (195) (182) N-C FIWAP 02/02/2014 Cotations de la Confédération Belge de l’Industrie Laitière/Produits industriels(€/100kg) Beurre 385.72 (403.97) Poudre de lait écrémé 334.78 (333.13) Poudre de lait entier 383.43 (382.69) Cheddar 398 (402.50) 07/02/2014 Fruits et légumes/Plants Bintje (€/100kg net) Pays-bas, cl. A /5t en sac - 28-35mm 67-69 (62-63) Pays-bas, cl. A /5t en sac - 35-45mm 43-44 (42-43) Fruits et légumes/Pomme de terre - Frais (€/100kg net) Chair tendre (Marabel, Melody, Victoria, Caesar,...) - Prix départ HTVA N-C N-C Chair ferme (Nicola, Franceline, Charlotte, Annabelle...) - Prix départ HTVA N-C N-C Fruits et légumes/Pomme de terre - Industrie (€/100kg net) Bintje - Tout venant, vrac, min.60%, 50mm+,360g/5kg PSE Dispo. - Prix départ HTVA 10-12 (10-12) Autres variétés (Fontane/Challenger/Innovation/Ramos/Agria) - Tout venant, vrac, min.60%, 50mm+,360g/5kg PSE - Export GB - Prix départ HTVA N-C N-C BIRB 02/02/2014 Porcs/Porcelets(€/tête) 23 kg + supp. 49 Porcs/Porcs(€/100kg carcasse) 149 (48) (144.50) SAINT-TROND 06/02/2014 Porcs/Porcelets(€/tête) 20kg 38 23kg 41 kg supplémentaire 1 Porcs/Truies(€/kg carcasse) 0.76-1.02 (38) (41) (1) (0.76-1.02) DEINZE 05/02/2014 Produits de la ferme/Lapins(€/kg) 2.15-2.15 Produits de la ferme/Volailles(€/kg) Poules extra lourdes + ou - 3,5 kg 0.65-0.67 Poules brunes 1,8-2 kg 0.28-0.30 Poules blanches 1,6-1,8 kg 0.23-0.25 Poulets à rôtir +/- 1,8 kg 0.93-0.95 (2.15-2.15) (0.65-0.67) (0.27-0.29) (0.22-0.24) (0.92-0.94) KRUISHOUTEM 04/02/2014 Produits de la ferme/Oeufs Kruishoutem(€/100 pièces) Oeufs de poules élevées en cages aménagées Prix production Blancs Bruns cat.0, 77.5g 6.37 (6.10) 6.40 (6.14) cat.1, 72.5g 5.13 (4.86) 5.16 (4.90) cat.2, 67.5g 4.85 (4.60) 4.99 (4.74) cat.3, 62.5g 4.58 (4.34) 4.71 (4.48) cat.4, 57.5g 4.25 (4.03) 4.36 (4.14) cat.5, 52.5g 3.85 (3.66) 3.96 (3.75) cat.6, 47.5g 3.42 (3.27) 3.35 (3.15) cat.7, 42.5g 3.05 (2.91) 2.98 (2.81) Prix négoce XL 6.97 (6.70) 7 (6.74) L 5.45 (5.20) 5.59 (5.34) M 4.85 (4.63) 4.96 (4.74) S 3.82 (3.67) 3.75 (3.55) Oeufs de poules élevées au sol Prix production cat.0, 77.5g 7.44 (7.33) 8 (7.86) cat.1, 72.5g 6.20 (6.09) 6.76 (6.62) cat.2, 67.5g 5.90 (5.74) 6.32 (6.16) cat.3, 62.5g 5.56 (5.37) 5.86 (5.67) cat.4, 57.5g 5.09 (4.88) 5.28 (5.08) cat.5, 52.5g 4 (3.81) 4.11 (3.90) cat.6, 47.5g 3.57 (3.42) 3.50 (3.30) cat.7, 42.5g 3.20 (3.06) 3.13 (2.96) 13 FÉVRIER 2014 8.04 (7.93) 6.50 (6.34) 5.69 (5.48) 3.97 (3.82) PRODUITS LAITIERS BIRB 02/02/2014 Bovins de boucherie/Génisses(€/100kg carcasse) E - U2 411.50 (411.50) E - U3 389.50 (389.50) E - R2 345.50 (345.50) E - R3 342 (341.50) Prix négoce XL L M S SYNAGRA 11/02/2014 Céréales/Blé tendre(€/t) 171.50 Céréales/Maïs(€/t) indigène 162 humidité 30% 99 plus ou moins €/t/% humidité 3 Céréales/Escourgeon fourrager(€/t) 156 (171.50) (162) (99) (3) (155.50) MAT. PREMIÈRES - ALIM. BÉTAIL Corn Gluten feed(€/1000kg) 22% - prix vrac - HTVA 222 Luzerne déshydratée(€/1000kg) 16%, pellets 6mm - prix vrac - HTVA 265 Manioc(€/1000kg) prix vrac - HTVA N-C Mélasse de canne à sucre(€/1000kg) prix vrac - HTVA 209 Pulpe de betterave déshydratée(€/1000kg) pellets 8mm - prix vrac - HTVA 266 Tourteaux de Colza(€/1000kg) extraction - 34% - prix vrac - HTVA 297 Tourteaux de soja(€/1000kg) extraction - 43% - prix vrac - HTVA 455 Tourteaux de soja(€/1000kg) extraction - 49% - prix vrac - HTVA 483 Tourteaux de soja(€/1000kg) 48% - OGM contrôlé - prix vrac - HTVA 530 Tourteaux de soja(€/1000kg) extraction - 44% - prix vrac - HTVA 446 Tourteaux de Tournesol(€/1000kg) extraction - 28% - prix vrac - HTVA 224 (222) (268) N-C (209) (267) (300) (441) (468) (519) (431) (227) MARCHÉ DE CHICAGO 11/02/2014 Unité : $/boisseau Éch. Blé 03/2014 Maïs 03/2014 Soja 03/2014 Ouv. 574.5 442.75 1327 +Haut 590.5 449 1340 +Bas 570.5 440 1318.5 Vol d’une vache à Ciney L’asbl Marché Couvert de Ciney et la Fédération du Commerce de Bétail signalent la disparition d’une vache blanche cul de poulain BBB lors du marché du 31 janvier. Toute information utile concernant cette disparition peut être fournie à Monsieur René Kessler, vendeur de cet animal identifié BE2 6588 0916 au 0477/43 25 91 ou au marché couvert (083/21 57 00) ou à la Fédération du commerce de Bétail (0478/27 29 26). Bonne récompense si l’animal est retrouvé. AGENDA FÉDÉRATION WALLONNE DE L’AGRICULTURE (FWA) UAW-FWA-FJA TOURNAI Lors de la réunion du mercredi 29 janvier à la Bascule à Esplechin sur la transmission des exploitations agricoles, quelqu’un s’est trompé de veste et a pris par erreur une veste homme, brune, achetée à E5 Mode avec col en velours. L’autre veste, brune, marque Deer Island, est à récupérer chez J.D’Haene, Hertain (tél. 069/22.59.36 - 0496/54.17.45). JEUDI 13 FEVRIER SL LIBRAMONT PALISEUL: à 19h30 à l’école St Joseph, Bonance, 1 à 6800 Libramont. Séance d’information «Permis d’environnement et permis de bâtir et d’exploiter: Renouvellement des permis de classe 3 Citernes à mazout (cuve, pistolet, aire de protection) et rappel des exigences pour être en ordre pour toute l’exploitation (bâtiments, stockage, bien-être)» par Séverine Vanwaeyenberge, Conseillère au Service d’Etudes de la FWA. SAMEDI 15 FEVRIER SL WAVRE-PERWEZ: à 19h30 à la Salle «Le Fenil», Rue de la Cure 1-3 à Tourinnes-St- Lambert. Souper annuel. Menu 4 services + apéritif et café pour 50 euros par pers. Paiement sur le compte FWA Wavre-Perwez 103-0119527-91. Inscriptions avant le 7 février chez Mélanie Delaby au 0477/87.24.92 – Philippe Janssens au 010/68.99.29 – Etienne Dardenne au 081/65.62.68 – Guy Godfriaux au 010/60.60.23 – Philippe Moniquet au 081/22.77.31. LUNDI 17 FEVRIER SR MONS-SOIGNIES: à 20h à la Place de l’Eglise à Steenkerque. Séance d’information «La déclaration PAC 2014» par Ch. Langendries de la DGO3 et «La PAC 2014-2020» par Yves Somville, Secrétaire Général Adjoint de la FWA. SR GERMANOPHONE : à 20h, à Meyerode. Séance d’information «PAC 2014-2020: Que nous réservent les décisions européennes dans le cadre du 1er pilier? Quels impacts sur les exploitations wallonnes?» par Alain Masure, Directeur du Service d’Etudes de la FWA. JEUDI 20 FEVRIER SR SUD-LUXEMBOURG: à 13h30 au Cercle Saint-Blaise à Etalle. Séance d’information «La nouvelle Politique Agricole Commune» par Yves Somville, Secrétaire Général Adjoint de la FWA. SP LIEGE: à 20h au Post Hôtel à Herstal. Conférence-débat «PAC 2014-2020: Que nous réservent les décisions européennes dans le cadre du second pilier? Quels impacts sur les exploitations wallonnes?» par Isabelle Jaumotte, conseillère au Service d’Etudes de la FWA. SL LIBRAMONT PALISEUL: à 19h30 à l’école St Joseph, Bonance, 11, soirée d’information: La nouvelle PAC 2014-2020 par Yves Somville (FWA) SR LIBRAMONT CHEVIGNY: à 19h30 à l’école Saint-Joseph, Bonance 1 à 6800 Libramont. Séance d’information «La nouvelle PAC 2014-2020: un budget en diminution, le verdissement de la PAC, le rééquilibrage progressif des primes DPU – La déclaration de superficie 2014 et les primes 2014» par Yves Somville, Secrétaire Général Adjoint de la FWA. SR NAMUR: à 20h à la Maison de l’Agriculture et de la Ruralité, Chaussée de Namur 47 à 5030 Gembloux. Séance d’information «PAC 2014-2020: Que nous réservent les décisions européennes dans le cadre du 1er pilier? Quels impacts sur les exploitations wallonnes?» par Alain Masure, Directeur du Service d’Etudes de la FWA. SAMEDI 22 FEVRIER SL EGHEZEE: à 19h30 à la Salle Le Sacré Cœur. Souper. PAF: 50 euros. Inscriptions auprès de Béatrice Van Vynckt au 081/511.274 – Manu Tilmant au 0475/85.95.73 – Benoît Marchand Crelan Eghezée au 081/51.05.75. SL FLEURUS: à 19h30 à la Salle Paroissiale, Rue de la Closière 48 à Wanfercée-Baulet. Souper. PAF: 55 euros. Réduction de 2 euros si paiement sur le compte UAW BE 15 1030 1215 0330. Menu 5 services – apéritif et café. Inscriptions auprès de Fleurus Consult au 071/81.11.67 – Ingrid Kairet au 0473/86.22.86 – Chantal Francotte au 0473/29.81.31 après 19h pour le 16 février 2014. JEUDI 27 FEVRIER SP LUXEMBOURG: à 20h à la Salle du Tram à Assenois. Séance d’information «La PAC» par Yves Somville, Secrétaire Général Adjoint de la FWA. FÉDÉRATION DES JEUNES AGRICULTEURS (FJA) UAW-FWA-FJA TOURNAI Lors de la réunion du mercredi 29 janvier à la Bascule à Esplechin sur la transmission des exploitations agricoles, quelqu’un s’est trompé de veste et a pris par erreur une veste homme, brune, achetée à E5 Mode avec col en velours. L’autre veste, brune, marque Deer Island, est à récupérer chez J.D’Haene, Hertain (tél. 069/22.59.36 - 0496/54.17.45). SAMEDI 15 FEVRIER FJA LEUZE: Soirée Saint-Valentin, 111 Grand’Route – 7530 Gaurain-Ramecroix. (voir UNION DES AGRICULTRICES WALLONNES (UAW) UAW-FWA-FJA TOURNAI Lors de la réunion du mercredi 29 janvier à la Bascule à Esplechin sur la transmission des exploitations agricoles, quelqu’un s’est trompé de veste et a pris par erreur une veste homme, brune, achetée à E5 Mode avec col en velours. L’autre veste, brune, marque Deer Island, est à récupérer chez J.D’Haene, Hertain (tél. 069/22.59.36 - 0496/54.17.45). SAMEDI 15 FEVRIER UAW BASTOGNE: 20H SAVY chez Philippe Leboutte Souper de section Informations et inscriptions chez Monique Pierlot 061/68 83 62 UAW-FWA WAVRE PERWEZ MT ST GUIBERT: 19H30 TOURINNES ST LAMBERT Salle ‘Le Fenil’, rue de la Cure, 1-3 Souper annuel Menu 4 services + apéritif et café pour 50€ par pers. Paiement sur le compte FWA Wavre Perwez 103-0119527-91 . Inscriptions chez Mélanie Delaby 0477/87 24 92 - Philippe Janssens 010/68 99 29 - Etienne Dardenne 081/65 62 68 - Guy Godfriaux 010/60 60 23 - Philippe Moniquet 081/22 77 31. DIMANCHE 16 FEVRIER UAW LIBRAMONT: 12H30 ROCHEHAUT Taverne de la Fermette Dîner de la section Renseignements et inscriptions pour le 15 février chez Odette Annet 061/27 81 31. MARDI 18 FEVRIER UAW PROVINCE DE NAMUR: 10H00 à 15H30 CINEY salle 6 - locaux de l’AWE - Ciney Atelier participatif «Le Gaspillage Alimentaire , comment y remédier… Poursuite des réflexions proposées en sections locales UAW» par Hélène Van Zande. Inscription chez Myriam Lambillon: 081/627 493. Possibilité commander dagobert ou prendre son pique-nique UAW SENEFFE: 19H30 ARQUENNES Place Albert Ier - Maison du Quartier Atelier participatif «La Pâtisserie» avec Mr Gérard Jonniaux, boulanger-pâtissier Inscriptions pour le 14 février chez Martine Brouckaert 0495/499 778 - Monique Lisbet 0494/613 665. Prévoir PAF. Apporter couverts, assiette et serviette. UAW VERVIERS DISON LIMBOURG: 13H00 DOLHAIN Au café ‘Le Lierre’ Conférence débat «Comment prendre en compte le Réchauffement climatique en agriculture?» par Françoise Bodson JEUDI 20 FEVRIER UAW HERVE AUBEL: 13H30 AUBEL Centre culturel , Place Albert I, 8A Conférence débat «Les maux de dos» par Julien Vanderbruggen, Préventagri UAW ATH ET UAW FRASNES: 13H30 OSTICHES Salle du Blanc Moulin Conférence débat «La Politique Agricole Commune à l’Horizon 2020: Quelles perspectives?» par René Vansnick, du Service d’études de la FWA UAW WAVRE PERWEZ MT ST GUIBERT: 13H30 HEVILLERS 6, rue de la Houssière Conférence débat «Le terroir dans nos assiettes» par Bernadette Jaspart UAW PROVINCE DU BRABANT: 10H00 à 16H00 GEMBLOUX 47, chaussée de Namur, salles 2 et 3 dans les locaux FWA Atelier participatif «Le Gaspillage Alimentaire , comment y remédier… Poursuite des réflexions proposées en sections locales UAW» par Hélène Van Zande Prévoir pique-nique. VENDREDI 21 FEVRIER UAW SENEFFE: 20H00 NIVELLES chez Aquaform, Faubourg de Soignies, 56 Atelier participatif «cours d’aquagym» par Céline De Paepe ! Places limitées. PAF 10€/séance. Réservation chez Marie Brouckaert: 0495/49 97 78 - Monique Lisbet 0494/61 36 65. SAMEDI 22 FEVRIER UAW-FWA EGHEZEE: 19H30 EMINES Salle ‘Le Sacré Cœur’ Souper PAF: 50€ . Inscriptions auprès de Béatrice Van Vynckt 081/511 274 - Manu Tilmant 0475/85 95 73 - BENOIT MARCHAND CRELAN EGHEZEE: 081/51 05 75. UAW-FWA FLEURUS: 19H30 WANFERCEE BAULET Salle Paroissiale - rue de la Closière, 48 Souper PAF 55€ - réduction de 2€ si paiement sur le compte UAW BE15 1030 1215 0330. Menu 5 services - apériti et café. Inscriptions auprès de Fleurus Consult: 071/81 11 67 - Ingrid Kairet 0473/86 22 86 - Chantal Francotte 0473/29 81 31 après 19H00 pour le 16 février 2014. UAW DALHEM FEXHE: 19H30 BERNEAU Salle ‘Al Vile Cense’ Soirée de détente Menu 4 services + apéritif et café pour 30€ sur le compte BE31 7320 0233 8155. Réservation pour le 16 février chez Zoé Belleflamme 04/376 64 45 - Irène Delnooz 04/387 47 68 - Tay Liégeois 04/387 45 07 - Viviane Gaillard 04/387 42 52 - 0497/260 333. VENDREDI 28 FEVRIER UAW NATIONALE: 9H45 GEMBLOUX Espace Senghor Congrès «Comment l’agriculture familiale se prépare t’elle à l’agriculture de demain?» inscription pour le 21 février. PAF 7€ pour le repas (buffet + dessert) UAW SENEFFE: 20H00 NIVELLES chez Aquaform, Faubourg de Soignies, 56 Atelier participatif «cours d’aquagym» par Céline De Paepe ! Places limitées. PAF 10€/séance. Réservation chez Marie Brouckaert: 0495/49 97 78 - Monique Lisbet 0494/61 36 65. SAMEDI 01 MARS UAW - FWA GEMBLOUX NAMUR NORD FOSSES: WEPION Hotel Hampton Souper Menu 4 services + apéritif+café pour 55 € (boissons comprises). Paiement sur le compte BE44 1030 1214 2145. Réservation pour le 23 février chez Véronique Brahy 0473/97 01 16 - [email protected] - Jérome Haubruge 0477/94 05 41 - Bureau Delchambre 071/71 14 78 - 081/62 73 05. encart) FJA NAMUR-SUD: Soirée Coup de Foudre, Rue du milieu du monde à Assesse. (voir encart) SAMEDI 22 FEVRIER FJA FLORENNES: Soirée Miss T-Shirt mouillé à Anthée. (voir encart) FJA SPRIMONT: Soirée Peket Barquette à la salle d’Andoumont (voir encart) JEUDI 27 FÉVRIER FJA NATIONALE: de 9h à 13h à la ferme expérimentale et pédagogique du CARAH. Séance d’information «Améliorer sa rentabilité par une gestion efficace de l’hygiène, du nettoyage et de la désinfection en salle de traite et en transformation» par Thierry Jadoul du comité du lait et DiversiFerm, en collaboration avec la FJA. SAMEDI 1ER MARS FJA WPJ: Soirée Carnaval à la Ferme du Grand Manil à Saint Germain LA FJA DE LEUZE A le plaisir de vous inviter à sa Soirée Saint-Valentin SAMEDI 15 FÉVRIER 2014 111 Grand’Route – 7530 Gaurain-Ramecroix LA FJA DE FLORENNES A le plaisir de vous inviter à sa Soirée Miss T-Shirt mouillé SAMEDI 22 FÉVRIER 2014 Fille membre : 15 euros – garçon membre : 18 euros Non-membre : 23 euros Présence de danseuses – Hoegaarden rosée LA FJA DE SPRIMONT A le plaisir de vous inviter à sa Soirée Peket Barquette SAMEDI 22 FÉVRIER 2014 A la salle le tilleul, rue d’Andoumont 6, 4140 sprimont DIVERS JEUDI 13 FEVRIER SENEFFE: à 19h45, salle des mariages de la commune, rue Lintermans, assemblée gé- nérale de la régionale des éleveurs de Charleroi. «Management et alimentation des jeunes bovins» par Vincent Rabeux (Dumoulin) VENDREDI 14 FEVRIER SOVET: à 19h30 chez Anne, André et Pierre Pirson, Ferme de Bocheroule, 1, visite de ferme des régionales des éleveurs BB Nord Lux et Bastogne MARDI 18 FEVRIER THOREMBAIS-LES-BEGUINES: à 13h30 chez Pomuni Fresh, rue de Glatigny, 35, réunion «Coin de Hangar» de la Fiwap. Infos: www.fiwap.be SAINT AMAND: à 19h30, salle du CSL conférence du comice de Fleurus: «l’envolée du prix des terres, comment transmettre une exploitation familiale?» par Me Etienne Beguin MERCREDI 19 FEVRIER GLABAIS: à 13h30 chez Pascal De Paepe, Hameau des Flamandes, 2, réunion «Coin de Hangar» de la Fiwap. Infos: www.fiwap.be BOUSSU-LEZ-WALCOURT: à 19h, Centre d’Accueil de la Platte Taille, séance d’information du contrat de Rivière Sambre & Meuse et le SPW: «Nouvelle législation sur la clôture des berges de cours d’eau», «Tenants et aboutissants de la phytolicence» et «Découverte de l’application Agr’eau» JEUDI 20 FEVRIER OEUDEGHIEN: à 13h30 chez Bernard et Laurent Nachtergaele, chaussée de Brunehault, 49, réunion «Coin de Hangar» de la Fiwap. Infos: www.fiwap.be SENEFFE: à 19h45, salle des mariages de la commune, rue Lintermans, assemblée générale du comice de Fleurus. «Optimisation de la protection des plantes, qualité de la pulvérisation et biostimulants» par Olivier Buyze (Bayer) VENDREDI 21 FEVRIER CINEY: à 15h30 au Centre de zootechnie, AG du Groupement des producteurs de plants de pdt. «Connaissances physiologiques sur la culture de pommes de terre» par C. Hannon (Arvalis); «Quel Cipan en culture de plants?» par P. Van Eecke (Fiwap) BAUFFE: à 19h30, chez le traiteur Eric Gueret, rue Delmotte, 64, A.G et souper du comice de Lens. Actualité agricole par Grégoire de Munck, DGARNE. Réservations: Christine Briffeuil, 068/657.788 MOLEMBAIX à 20h, salle du patro, rue du Château, 14, assemblée générale de l’Aredb de Tournai et environ: «Investir dans une mélangeuse, limite et intérêts» par Jean-Marie Lenoir (Provimi). Renseignements: 0475/816.450 SAMEDI 22 FEVRIER MARCHE-EN-FAMENNE: à 20h, restaurant “Le Manoir”, rue du manoir, 2, souper annuel de l’association régionale des éleveurs BB Nord Lux. Réservation: 0494 / 32 17 42 LUNDI 24 FEVRIER LEUZE & PERUWELZ: 6h, près du Colruyt de Leuze ou 6h15 pont de l’autoroute de Bury- Peruwelz, déplacement du Comice au SIA de Paris. Prix 15 €/personne. Réservations: 069/67.11.52 ou 069/77.11.13 VIELSALM : à 13h30 à la ferme Willem à Joubiéval, 16, A.G. du comice de Vielsalm. Obligation de clôture des berges des cours d’eau (législation, subsides, aménagements) par la DGARNE et phytolicence par Guillaume Meniger du comité régional phyto. Infos : P. Pochet (061/22.10.60) ou A. Guérard (061/22.10.59) VILLERS-SUR-SEMOIS: à 20h au local paroissial, A.G. du comice d’Etalle. Résultats du concours silos, remise des prix et commentaires par MM. Foucard et Lambert. Intervention d’un représentant du Parc Naturel d’Anlier. MARDI 25 FEVRIER CINEY: à partir de 10h, salle St Luc, rue Martin Morimont, A.G. de l’Unab. Réforme de la PAC en agriculture bio + «La Bio à la croisée des chemins». Echanges avec le cabinet du Ministre et les politiques. Infos: www.unab-bio.be - Sylvie La Spina (0487/34.60.78). MERCREDI 26 FEVRIER GEMBLOUX: à 9h et 14h (2 séances) à l’espace Senghor, Journée «Livre Blanc», fumure et protection phytosanitaire des céréales organisée par GxABT et CRA-w. La brochure disponible sur place (12€) peut être commandée en versant 16 € au compte BE62 3401 5580 3761 de ULG-GxABT avec la mention «livre blanc février 2014» MONTIGNY-LE-TILLEUL: à 19h, salle Henri Laloyaux, rue de Cousoire à Landelies, séance d’information du contrat de Rivière Sambre & Meuse et le SPW: «Nouvelle législation sur la clôture des berges de cours d’eau», «Tenants et aboutissants de la phytolicence» et «Découverte de l’application Agr’eau» GERPINNES: 20h, Salle communale, Place des Combattants, séance d’information sur l’agriculture biologique organisée par l’Unab-CPBio et les Comices de Thuin et Fontainel’Eveque. Infos: Sylvie La Spina (0487/34.60.78). JEUDI 27 FEVRIER CASTEAU: à 14h15, chaussée de Bruxelles, 40, journée d’étude de Greenotec: «la struc- ture d’un sol, un élément de sa fertilité». Inscriptions (10€) et renseignements: Maxime Merchier, 0474/31.18.47 – [email protected] GOTTIGNIES: à 19h30, salle St Léger, AG du comice du Roeulx. PGDA et effluents d’élevage par Khalidi Mostapha (Nitrawal) LA FJA DE NAMUR-SUD A le plaisir de vous inviter à sa Soirée Coup de Foudre SAMEDI 15 FÉVRIER 2014 Rue du Milieu du Monde à Assesse Animée par Sono Vibes Le comité décline toute responsabilité en cas de perte, vol ou accident Sécurité assurée 13 FÉVRIER 2014 - Pleinchamp 15 NOTAIRE PETITES ANNONCES MATERIEL A v. travail Delaval; désileuse VDW herbe et betteraves; mixer Peters en bon état. 0488/279.271 (706a) ^ƉĠĐŝĂůŝƐƚĞ ĚĞƐ ƚƌĂŶƐĂĐƚŝŽŶƐ ĂŐƌŝĐŽůĞƐ >ŝŵŽƵƐŝŶ͗ ϲϳ,Ă Ě͛ƵŶ ƐĞƵů ƚĞŶĂŶƚ ĂƵ ĐĂůŵĞ ŝĚĠĂů ĠůĞǀĂŐĞ >ŝŵŽƵƐŝŶ͗ ĞůůĞ ƉƌŽƉƌŝĠƚĠ ĂǀĞĐ ŐŠƚĞƐ Ğƚ ĐŚĞǀĂƵdž ϯϬ ,Ă dĠů͗нϯϯϱϰϱϯϳϲϯϳϵ ĂŐƌŝĐŽůĞΛƚĞƌƌĞƐͲĚĞͲĨƌĂŶĐĞ͘ĐŽŵ ǁǁǁ͘ǀĞŶƚĞͲĞdžƉůŽŝƚĂƚŝŽŶ͘Ĩƌ A v. tracteur Deutz 55.06 refait entièrement nouvelle peinture embrayage siège alternateur batterie démarreur phare feu rouge super état. 064/675.269 (098) A v. semoir engrais Kugsman 7 à 8T Gilmaire 3 à 4T. 061/217.818 (229) EMPLOI A v. téléscopique Manitou 523 6800h nouveaux pneus 10000 Eur; déchaumeuse à disques Jean de Bru 26 disques 3m 1000 Eur; distributeur d’engrais Sulky Roger 2500L 18-28m bâche bon état 1650 Eur; pulvérisateur Hardy 2000L 18m hydraulique 4 coupures électriques 1998 bon état 2000 Eur. 0474/384.273 (194) Offre d’emploi Coordinateur Général FJA Dans le cadre de ses activités, la FJA « Gestion et Formation » asbl engage : un COORDINATEUR GENERAL (H/F) Tractoren + onderd. occasie Case IH 20-200 pk Case International dealer Jo Smeets Moelingen. www.smeetsservice.com 0475/548.791 (199) 1. Missions et responsabilités • Le coordinateur général travaillera sous l’autorité du conseil d’administration de la FJA asbl et assurera le bon fonctionnement de l’asbl: suivi des décisions du CA, animation de réunions, suivi et gestion des sources de financement, coordination de l’équipe administrative. • Le coordinateur général veillera à la mise en œuvre des actions définies dans le cadre des différents axes de travail de la FJA, proposera un programme d’actions visant à développer le dynamisme du mouvement et rédigera les différents rapports d’activités. • Le coordinateur général travaillera en étroite collaboration avec le chargé du suivi des politiques agricoles et le chargé de mission formation-information A v. mélangeuse Frasto 10 m3 avec fraise; tonneau à eau 6000L; andaineur Deutz Fahr. 0488/279.271 (706b) A v. semoir Sulky 24 rangs; pulvérisateur Platz 18m cuve 1000L; bac distributrice Schaffer. 0499/130.600 (219) A v. IH 1056 XL BE; salle de traite mobile Ceres en épis 2x4 BE; tank à lait Alfa Laval 2000L. 0477/372.634 (221) 2. Profil et compétences • Diplôme universitaire ou de niveau universitaire, de préférence dans le domaine de l’agronomie • Bachelier (ou Gradué) en agronomie avec expérience (5-10 ans) • Expérience souhaitée • Capacité de gestion d’équipe • Bonne connaissance du milieu agricole wallon et belge • Aptitudes de prise de parole en public et capacités rédactionnelles • Capacités à communiquer avec différents publics • Capacités à concevoir un site web constituent un atout • Détenteur du permis B A v. roues étroites ar 95R44 av 8.3R32. 0496/866.230 (237) A v. faucheuse Vicon 268 4 tambours avec releveur d’andains et réserve de couteaux TB état. 0478/456.995 (247) 11344010/0714jht 3. Conditions Contrat à durée Indéterminée temps plein après une période d’essai de 6 mois. Flexibilité (soirée, week-end). A v. roues étroites Kleber 11.2R32 av 11.R48 arr TBE 8 trous 1900 Eur; 2 niches à veaux 125 Eur. 0497/831.298 (130) A v. chariot de paille Record 10T longueur 10m 3 ans comme nouveau. 0498/104.320 (154) A v. refroidisseur Delaval 3300L; matériel de traite; cuves inox 800L et 600L; DPU. 0497/536.347 (167) A v. semoir engrais Amazone 1200L 24m; faucheuse tambour PZ 2 roues étroites 9-5-48 complètes avec couronne et flaques AD uni rég Hannut. 0476/781.403 (172) A v. enfonce-pieux Echete hydraul 2200 Eur; andaineu 380N Pottinger 2200 Eur; Audurau pailleus 1500 Eur; Fiat 400. 0473/664.978 (188) (WV 72866$,17 VSUO $66(66( 7pO ÜÜܰiÌÃÌÕÃÃ>̰Li Ûi`Ài Intéressé(e) ? Vous pouvez envoyer votre candidature (CV + lettre de motivation) à Monsieur Gary Vanvinckenroye, Président national de la FJA, à l’adresse mail [email protected] - 0473/88.87.64, et ce au plus tard pour le 14 mars 2014. I £ nÎ{x, {xää Ó䣣 I £ nÎÎx, {xää Óä£Ó I £ /xxä È£ä {ää Óään I £ ÇÇ£ä Ài E «`v >ÛÌ Ã>à Ìà nxää I £ ÈnÎä Ài >Û Îäää I £ ÈÈÎä /- xnää I £ ÈÎä Ài >Û xxää I £ nxÎä - ÈÎxä I £ È£ä /- ÀiiÛ>}i >Û>Ì xnnä I £ ÈÓä /- Ài iÌ «`v >Û Èxää I £ ÈÓä /- vÀià «iÕ xää I £ /-££x ³ V >À}iÕÀ +ÕV I £ ÈÓxx ³ V >À}iÕÀ ³ Ài iÌ «`v >Û I £ iÀÃi ³ ÃiÀ D ÃVÃ Õ 6iÌ> { I £ >`>iÕÀ *ÌÌ}iÀ {Èä Óä£Ó I £ v>iÕÃi È ÌÕ«ià *ÌÌ}iÀ Èä Óä£Î I £ v>ÕV iÕÃi ÎΣ Óä£Î I £ v>ÕV iÕÃi *ÌÌ}iÀ Î Ì>LÕÀà ³ V`ÌiÕÀ Óään I £ v>ÕV iÕÃi Õ Î Ã>à V`° £ I £ «ÀiÃÃi L>ià À`ià xÓ I £ V >ÀÀÕi ii { VÀ«Ã ÃjV° LÕ I £ «ÕÛj iÀÌ Õ` ÎÓää Îä * ÌÀ>VÌiÕÀà Ì`iÕÃià `ÛiÀà • CHAUSSÉE DE NAMUR, 47 B-5030 GEMBLOUX • TÉL. : 081/60.00.60 • FAX: 081/60.04.46 • E-MAIL: [email protected] Organe de presse hebdomadaire de la Fédération Wallonne de l’Agriculture 16 Pleinchamp - Rédaction : Richard Cydzik, Bernard Kersten, Marie-France Vienne Abonnement : Martine Dewez Editeur responsable: Yvan Hayez , secrétaire général Tirage : 22.500 exemplaires distribués dans toutes les fermes de Wallonie Imprimerie: Corelio - Grand-Bigard - Prépress: Passe-Partout 13 FÉVRIER 2014 $# $ $ $ # # $ % %! #! #$ ! #$#% # $!$ $ $ # % $& # $ $ ! %#$ ## ! # # !$ # $ ! #$#! $ A v. matériel de chambre froide + porte à démonter soi-même région Liège. 0496/532.781 (223) A v. arracheuse 47-32; effeuilleuse TR14 Gilles; chargeuse R136T Gilles; pulvérisateur Delvano 24m; semoir tank 12R. 0498/052.764 le soir (235) A v. tank à lait Alfa Laval MG 3500L TB état rég Ciney. 0497/263.895 (248) A v. pipeline Alfa Laval compl sans grif pomp UP74 group refroidiss neuf 2 ventilat avec transfo 220/380; tank à lait Melotte 1100L 2 couvercl très bas prix rég Tournai. 0479/291.891 (252) A v. charrue Naud 6 socs non stop mécanique semi-porté; taureau de saillie 2 ans indem des 7 tares inscrit I3. 0477/637.417 (254) MATERIEL (CHERCHE) Ch faucheuse andaineuse de colza en état. 0473/222.015 (232) Cherche toutes machines agricoles occasion: tracteurs, moiss-batt, presses, charrues, semoirs, etc. 0048 501456753 (1543) AUTRES VEHICULES Cherche camion Volvo FL6 châssis nu. 0496/524.042 (213) Paie cash écrémeuses refroidisseurs. 0495/160.266 (131) Cherche Tract. D.B. ou Case 990/1210/1490/1494, semoir à maïs Nodet avec fertilisateur complet ou pièces. Cherche Autochargeuse à herbes +/-35m³. 0477/442.105 (150) Ch chargeur sur pneu Kramer type 611 pour pièces ou état; pulsateur électro Packo pipeline. 071/356.462 0495/536.462 (226) Cherche niches veaux + igloos. 0498/231.949 (231) Cherche 2 roues 8.3 36 ou 9.5 36 sans flasques; 2 jantes 18x28. A v. 2x 8.332 semoir engrais Sulky 1204. 0486/056.113 (243) BOVINS A v. taur BBB insc 18 à 24 mois; 1 taur blanc 4 ans conv pour crois. 0472/699.551 (162) A v. tx Parthenais 1 Richelieu 11 mois 1 Bingo statut I2; tx laitier 1 an. 0494/136.143 (181) A v. génisses pleines PN région Ath Enghien Soignies. 0498/227.158 après 19h (182) A v. taureaux de saillies Blonds d’Aquitaine inscrits IBR de 12 à 14 mois. 0499/130.600 (218) A v. génisses Blondes d’Aquitaine 15 à 20 mois calmes. 0477/170.762 (220) A v. jeunes veaux mâles Normand bonne origine laitière élevage I3 prix à discuter; tonneau à eau 3000L. 0477/782.098 (224) A v. taureaux Pie Rouge Pie Noir inscrit statut I3; pulvé Hardi 12m 800L. Cherche cornadis 5m 8 pl. 0475/825.542 (242) A v. cse cessation taureau Parthenais I3 6 ans 2400 Eur. 061/587.027 (245) A v. taur Charolais type élevage 6 ans très grand. 0475/927.995(250) A v. 6 génisses Salers bio 22 mois pour saillie et taureau Salers bio 32 mois. 0496/266.364 (259) A v. paille et foin livrés Belg & GDL. 0032 498501568 (034) A v. paille foin préfané gros ballots betterave fourragère possibilité de transport. 0496/557.332 069/866.643 (054) FOURRAGES A v. préfané foin paille balle carrée extra départ ou rendu toute région. 0475/250.752 (1522) A v. paille française, foin, préfané, dactyle, pois, sous abri rendu. 0472/981.167 (005) A v. drêches de brasserie. Préat Montignies-le Til. Agréation GMP 04-047. 071/561.8820475/439.671 (033) A v. bon préfané ballots 120 70200; bon foin ballots 120 70220 région 084. 0479/488.730 (201) A v. belle paille stockée sous abri 60 Eur/T rendu région Bastogne Neufchâteau Florenville Bertrix. 0496/545.043 (067) A v. paille de froment qualité suprême prix à discuter au ballot; distributrice pailleuse Audureau prête à travailler prix bas. 069/859.422 (217) /À>VÌiÕÀà D `>iÕÀ >>Ã Ó ÀÌÀà n Óä£ä D i`Ì Ç£È Óää£ D *ÕÛj ÌÀ>j ÛÀ>À` iÌiÀ {£ää ÓÇ D ,i>ÕÌ Àmà ÈÎä Óää D *ÕÛj ÌÀ>j ,>Õ Ónää ÓÇ D ,i>ÕÌ Àmà ÈÈ ÓääÎ D *ÕÛj «ÀÌj iÞi £Óää Ó{ D ,i>ÕÌ x£ D *ÕÛj «ÀÌj 6V £xää Ó£ D Ãi /{ÎÎx D >ÀÀÕi -Ìii { VÀ«Ã £äx ÛiÀà D ÀÃiÌÌi ÕÀ` Î D ÃiÕÃi ,äxä Óää D Õ«iÀ i >Ý ,£x £xxä } Óää ³ «°Õ° iÀLi iÌ i«iÀ n À}à 1 `i ÃÌV Õ `j® D ÀÀ>V iÕÃi «`Ì Ài /£Çä Óä£Î >âi \ D Lj >âi ³Îäää Ó䣣 D "ÕÌ D `iÌà iÕà { Ài«>Li D -i LiÌÌ Ãi xäÓ, £ÓÀ Ài«° >>à i>î D -i LiÌÌ ÛiÀi>` È À}à ÃVà ÓääÎ D >iÕÃià {Èn ÌÕ«iî D -i LiÌÌ ÛiÀi>` « ÈÀ `õ D `>iÕÀà £Ó ÀÌÀî D -i LiÌÌ ià £Ó D ÃVà D >ÕV iÕÃià D >iÀ D *>ÌiÕÃi «`Ì ÀÕÃi Óä £È ÕÌÀi \ D ii "Û> £{ / Ó iÃÃiÕÝ £nÓ D >ÃÃi >Û>Ì £äää } D *ÀiÃÃi >>à +Õ>`À>Ì ÓÓää D iÕÝ `i vià ÀÕià }iÌ / -<" 716,, *OHYNL\YZ 4? ; JVUMVY[ -$ *$*-$% -%"-# ,+1 . * /-% / * ** -**"- * * %** --$ .*$ *$*-$ %% %- * $ #-*% #$ ,1 11(, 11 1 1 0 1+(' & ! 13 FÉVRIER 2014 - Pleinchamp 17 PETITES ANNONCES A v. 80 boules de 1ère et 2e coupe enrubannées année 2013 rég 061. 0497/902.398 (227) A v. bio boules préfané sencier nu + boules préfané luzerne bio rég 4560. 0479/492.223 (238) A v. racine chicon propre pulpe chicon pdt bio Ecocert conventionnel cube foin + préfané bio conventionnel. 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Prix chocs ce mois-ci en plants p haie forêt, ornement, talus, etc: thuyas àpd 1,25 Eur (1m25=5 Eur, 1m50=7! 1m75=9! 2m=15 Eur!); lauriers 1m=3,5 Eur 1m25=4,5 Eur! 1m50=6 Eur; ifs (taxus àpd 2,5 Eur; hêtres & charmes àpd 0,5 Eur! hêtres rouges àpd 1 Eur! aubépines àpd 4 Eur! aulnes 1m=0,4 Eur! ligustrums=0,6Eur! arb ornement, arb palissés, fruitiers, buis, houx, petits fruits, arbustes à fleurs, couvre-sol, etc. voir cat. complet www.pepphl.be pour prix exacts 0498/666.825 (035) Prix chocs ce mois-ci en plants de +/- 1m p haies vives & divers: tout à 0,80 Eur! (25 plants min par sorte) acacias, alisiers, aubépines, berberis, bouleaux, cer à grappes, chênes, érables (champêtres, du Japon, planes, sycomores), frênes, ligustrums, marronniers, merisiers, néfliers, noisetiers, ormes, noyers, malus & pyrus sylvestris, pruneliers, rosa rugosa, saules, sorbiers, tilleuls, prunus padus & manaleb, etc. fruitiers: -10% sur prix catalogue; voir www.pepphl.be Renseignez-vous! 0498/666.825 Voir promos sur 2ememain.be rub «jardin» (036) Cherche droits de prime unique. 0472/106.928 (1563) A v. droits de prime unique. 0477/781.275 (222) Pour contrat saisonnier 28ha région de Lequesnoy maïs ou autre 1000 Eur/ha; également 20 embryons à 100 Eur. 0477/755.522 0479/098.256 (228) $*5,(;32576 -HDQ/RXLV 7$16 SURSRVH /À>VÌiÕÀà - 8 £äx {nÎx Óä { - >}Õ ÎÎx ÎÈ Óää 1/< Èxä *Àvi Ónän Óään xx£x ³ V >À}iÕÀ ΣÎä Óääx È{£ä *ÀiÕ ÎÈä Óäää ÈÈÎä /- ³ - ÓÓ£n ÓääÇ ÈÈÎä /- Îäx Óään ÈÓä- /- °*° Ài >Û ÓääÎ nÓnx , £{x Óä£Î V ", /8£xä ÎÎxÓ ÓääÈ V ", /8£xä ÓÈäÓ Óään x{{x Îxn Ó À ä V ÓääÇ ÃÃiÕÃià - i}> Ó£n È£ä É £x ÓäxÈ ÓÓxäÉ£xä x{ä £Ç /xÈä nxÈÉÈÈn È£ä Óää /ÈÈä {ÈxÉÎÓ Çxä Ó䣣 / xÈ ,- £n{x {xÇ £È -8 Çänä - {xä ÇÓä Ó䣣 ,Õ`L>iÀà xä E nx{ nÉ££ WpO HPDLO MOWDQV#VN\QHWEH 13 FÉVRIER 2014 6&5/ A vendre droits de prime unique et quotas vaches allaitantes. 0476/457. 347 (118) A v. primes vaches allaitantes; niches individuelles à veaux; épandeur 2 essieux table épand. 0472/606.968 (203) A v. droits de prime unique. 0476/469.011 (211) A v. primes vaches allaitantes; bouleuse 590 John Deere liage filet large ramasseur. 061/504.700(230) A v. quota vaches allaitantes prix à convenir. 081/855.119 apr 18h (233) Cherche droits de prime unique de haute valeur. 0497/265.530 (236) Nouveau dans la région, ensilage coupe direct céréales immatures. 060/399.769 0473/745.334 (241) A louer quota laitier 50000L. A v. quota vaches allaitantes. 0490/563.168 (246) A v. quota vaches allaitantes. 0484/399.398 (255) A v. quota vaches allaitantes. 069/662.803 0498/251.049 (258) Cette association est spécialisée dans le tourisme, offrant à ses adhérents des circuits de découverte tant en France, qu’en Europe et sur tous les continents… La satisfaction renouvelée de ses adhérents est le résultat de prix «tout compris» très compétitifs, au départ la région lilloise pour des destinations variées et renouvelées, d’un accompagnement systématique des groupes et surtout d’une ambiance amicale résultant d’un profil «adhérent» souvent d’origine rurale, certes exigeant et toujours très convivial. Particulier, association, groupes constitués, n’hésitez pas à nous consulter pour vos projets de vos voyages. [email protected] Le catalogue d’AVA est disponible à la FWA auprès de Mme Tréfois au 081/627.460. '$5,21 "VV>à iÀÃià ÀÌ>ÌÛià ΠÀ>`iÌ iÌ iÞ iià >Ài Ó iÃð /Æ i>«>Vi Ó iÃð £{ / ÓÝ®Æ ÀÌ n/ ÓÝ®Æ i««ii / -iÀ VVÀ` Óxä D `õÕi À>«i ,ÌiV -iÀ `iÌ Î Óx À}à ÀÃiÌÌi ÕÀ` Î Ó V>>`iià LiÀÌ x } -Ìii Îxä £Ç `iÌÃ Ó ÀiÀµÕià { ÀÕià £x L>ÃVÕ° >ÛiV «>«iÀ *ÕÛjÀÃ>ÌiÕÀ Èää 6ÛÀ `jV >ÕiÕÀ }À> È >ÛiV ÀÕi>Õ iÌ «i}i] `i `j { ÀÕià `i Liià £n, ÓÓ]x £ä ÌÀÕà { ÀÕià `i Liià ÈääÉxxÉÓÈ]x £ä ÌÀÕà %! % !%% . %) + +% # *. % $ $% $ *&.. )$% ) *.. -%% $ >ÌjÀi iÕv `i ÃÌV iÀÃi ÀÌ>ÌÛi À>`iÌ Î ÀÕ >Õ V Ý }>à ,>«` vÀÌ> Î *ÕÌÀi `jV«>VÌiÕÀ }À}> È `iÌà ÀÃiÌÌià >ÀÌVÕji Î £ iÌ Ó À>}jià /"1/ *"1, /,6 1 -" ..! " )$+$% +, /HV RXWLOV TXH OD WHUUH SUpIqUH ''' !%#(# & $ Y SRXU FRPSWH FOLHQWV SURSUH Namur Jeudi 20 mars Pays de Herve Jeudi 13 mars A 12h, dîner annuel à Anthée à la salle «Le Mazamet». Menu: zakouski, crème de potiron, médaillon de filet de barbue sauce St-Germain, émincé de magret de canard aux échalotes et miel d’acacia, feuilleté de Falaën au sirop des vergers mosans, sorbet citron fraises citronnées aux éclats de meringue Chantilly, café. Prix: 45 euros (boissons comprises). Inscription avant le 14 mars chez Nestor Floymont au 082/223.391 Attention, en raison du dîner du 20 mars, le jeu de carte au Centre de Zootechnie à Ciney aura lieu le jeudi 13 mars à 14h. A 13h30, au cercle paroissiale à Montzen, film sur le Tyrol en Autriche rappelant pour certains le séjour du mois d’aout par M Jaegers suivi d’un gouter et 2 boissons pour 8 euros. Tél. V Taeter 087/301.326 Du lundi 9 au dimanche 15 juin Voyage «A la rencontre du Jura». Renseignements, programme détaillé et inscription auprès de Nestor Floymont 082/223.391 ou Germaine Calande 071/713.642. Prix par personne : 950 euros Fleurus Du lundi 5 au mercredi 7 mai Minitrip à Colombey-les-Deux-Eglises. Prix tout compris : membre 460€, non membre 480€. Inscription par versement de 200€/pers au compte BE72 1030 1956 9416 ou par téléphone (si renseignements) à Jean-Marie Descamps 0475/479.916. Places limitées. Voyage annuel en Roumanie: Bucarest, Bran, les Carpates, Bucovine, Cluj-Napoca, sites Unesco, Vallée de l’Olt, divers châteaux, monastères. Une visite de ferme est prévue. Départ par avion de Bruxelles vers Bucarest et retour. Prix: 1365 Euros par personne. Single: + 166 Euros. Contacts: claudeherbecq@skynet. be tél: 068/542.981. [email protected] Tél: 069/771.198. Brabant Wallon Vendredi 14 février A 13h30, goûter aux tartes et jeux de cartes au hall Manifagri à Wavre. Dimanche 16 mars Dîner annuel à Vaillampont, Nivelles. - Apéro et mises en bouche; papillote de cabillaud avec noix de St Jacques, écrevisse, rouget et sauce au porto; Filet de pintade en tournedos et magret de canard au vinaigre de cidre et thym; Brie tiède sur salade folle avec pommes et noix; feuilleté aux poires avec glace et coulis normand. Prix: 50 € pour les membres et 55 € pour les nonmembres. Animation avec DJ, café et vins compris. Inscriptions avant le 1er mars par virement au compte de l’ARFWA Brabant Wallon BE 37 1031 1498 9528, 43/3, avenue du Monde, 1400 Nivelles. Par téléphone après 18h chez N. MULLIER, 067/55.43.05 ou E. PLASMAN 02/384.69.76 $)%-%"+ . '.. *&& 7UDFWHXUV -' FK K -' FK K -' *) FK K -' FK K -' FKDUJHXU FK K -' 7/6 FK K -' 7/6 FK -' FKDUJHXU FK K -' 5 FK K -' 7/6 FK K -' FK K -' 7/6 FK K -' FK K -' FK K -' FK K 'HXW] FK K )HQGW FK K /DPERUJKLQL )RUPXOD FK K A M I C A L E D E S R E T R A I T É S D E L A F WA Tournai Mons Samedi 14 au samedi 21 juin $*5,*1,$ UXH -% -RDQQHV LES AMIS DU VOYAGE ET DE L’AGRICULTURE AVA Prix chocs ce mois-ci en arbustes à fleurs p haies et usages divers; tous à 1,50 Eur! (10 plants min par sorte) amélanchiers, aronies, boule de neige (viburnum, opulus), bourdaines, buddleia (arbres à papillons), catalpas, cerisiers de Ste-Lucie, cornouillers, églantiers (Rosa Canina), Cytisus (genêts à balais), forsythias, fusains, groseilliers sanguins, lilas, liquidambar, mahonias, rhamnus, paulownia (arbre impérial), pluies d’or (laburnum lantana), rosiers sauvages, philadelphus, sureaux, symphorines, tamarix, tulipiers viburnums lantanas, voir www.pepphl.be 0498/666.825 (037) Prix chocs ce mois-ci en plants à petits fruits; tous à 1,50 Eur! (10 plants min par sorte) alisiers (sorbus torminalis), aronies noires, cerisiers & poiriers & pommiers des bois (sauvages), châtaigniers, cornus mas, framboisiers, groseilliers (blancs, noirs, rouge ou verts), marronniers, néfliers, noisetiers, noyers, sureaux à marmelade (noisetiers rouges=3 Eur). Voir aussi catalogue général sur www.pepphl.be renseignements 0498/666.825 [email protected] (038) Cherche quota vaches allaitantes. 0498/405.598 (097) A v. pompe à vide + moteur Melotte; meuble gueule de lion + table; poste à souder portatif rég 069. 0496/223.947 (209) Jeudi 15 mai Excursion à Rochehaut. Départ 7h30 Herve (Scar). Trajet vers Bastogne (pause petit déjeuner libre), arrivée à l’auberge de la ferme, visite de l’agri musée. Repas de midi (menu 3 services hors boissons), visite du parc animalier en petit train. Retour direct vers Herve, arrivée prévue vers 19h30. Inscription pour le 2 avril et paiement 70 euros/personne pour le 30 avril au BE30 1030 1586 3511 avec mention «Rochehaut». Lundi 23 au vendredi 27 juin Voyage découverte de l’Orne en Normandie. Départs Barchon 5h30, Herve 5h45. 1er j: par Amiens, arrivée à Rouen pour repas de midi libre – village de Camembert – visite de la ferme de la Galotière au Pays d’Auge – installation hôtel de Tesse** à Bagnoles de l’Orne. 2e j: découverte de Bagnoles de l’Orne – déjeuner et spectacle à la ferme de la Michaudière – temps libre à Bagnoles – retour hôtel pour diner. 3e j: visite du musée du vélo «La Belle Echappée» à La Frenaye sur Chédouet – repas 3 services – départ pour le Mont-Ormel et visite du mémorial Montormel - retour hôtel pour diner 4e j: visite musée sapeurs pompiers dans l’ancienne du Sacré Cœur de Bagnoles de l’Orne - repas 3 services – visite du Haras national du Pin au Pin au Haras - retour hôtel pour diner. 5e j: visite guidée du château de Carrouges et déjeuner 4 services au château – retour avec arrêt pour repas du soir libre. Arrivée à Herve/Barchon vers 22h30/23h. Prix par personne pour 35 personnes minimum: 565 euros; supplément chambre single + 80 euros. Acompte de 150 euros/pers pour le 10 mars 2014, solde pour le 19 mai 2014 au compte BE30 1030 1586 3511. Rens et inscription Victor Taeter, Messitert 56 à 4880 Aubel. 087/301.326 0496/742.306. Précisez le lieu de départ Herve ou Barchon Vendredi 22 août Rendez-vous au Cercle paroissiale à Montzen. A 10h, promenade – 12h30, barbecue prix 18 euros comprenant apéritif, 1 saucisse, 1 côtelette + accompagnements, boissons non comprises. Inscription Victor Taeter 087/301.326 0496/742.306 paiement faisant foi au BE30 1030 1586 3511 pour le 9 aout. Mention «barbecue» Mardi 16 au mercredi 24 septembre Voyage annuel au Pays basque. Prix par personne pour 35 personnes minimum: 1025 euros; supplément chambre single + 176 euros. Acompte de 250 euros/pers pour le 28 février 2014, solde pour le 11 aout 2014 au compte BE30 1030 1586 3511. Rens et inscription Victor Taeter, Messitert 56 à 4880 Aubel. 087/301.326 0496/742.306. Vendredi 17 octobre Assemblé générale: date à retenir, diner et animation. +/*(66> :: $5(** 0<, 6 /5 *::5 <, 6 =( ,:5 &3< +-:12 =(:> *6 5=(:(-,6 (,-+/5&,6(*612 $ $$ $$ $$ $ 7UDFWHXUV IUXLWLHUV -' ) FK K 1+ 6 FK K 1+ 6 FK K 0RLVVRQQHXVHVEDWWHXVHV -' P K -' :76 P K -' +0 P K -' 7 +0 P K &8<&.(16 VD -+ < - /-6:* , -*(: */&-, 06( !:<51 ÀÕi , LiÀÌ] £> {Ónä ,-6, - /j° ä£Éx£ ÎÇ În v>Ý ä£Éx£ än xn ÜÜܰVÕÞViðV vJVÕÞViðV ,:((/:(=+,: : : 6($,:<5 # /5 &3< )-(,: *4,,-, 0*6 &3<6 6-,: !# :-<)-<56 /:612 6 /(6 +-,,( ,6 *6 ,=-(62 /5 =(5+,: *(** < -+/: , 88 .?;? .. ??#; ' ( 0)-(,5 * /5<= /(+,:1 $ $ -,:,: -+5 /5<:(-,061 " 5 *($, 6<//*+,:(5 5,-+ 0:(:6 ,,-,61 &<66 +<5 #7 ' "?;? 5 /-,6 < <5< < )-<5,* :<5 13 FÉVRIER 2014 $$ $ - Pleinchamp 19 RÉGION La tradition de la Chandeleur se perpétue sur le Plateau Février est arrivé emmenant avec lui une météo similaire à celle connue en janvier, c’est-à-dire stable, douce et humide. Par contre, nous avons droit à beaucoup plus de vent que le mois dernier. Dans de nombreux pays, la météo actuelle cause de nombreux problèmes et dégâts notamment en France et en Italie. Plusieurs régions de nos voisins ont souffert d’importantes inondations. Lucien Royen Le Congrès de la FWA est derrière nous. J’espère qu’il aura connu un important succès car il y a tellement de changements à venir dans les différentes réglementations: la PAC, la réglementation en zone vulnérable, le FIA, l’immatriculation des tracteurs. Nous attendons avec impatience les réunions d’informations sur l’application de ces règlements. Lundi dernier, le 3 février, nous avions notre traditionnel rassemblement en l’Eglise des Récollets de Verviers pour célébrer la Chandeleur. Malgré la diminution de la fréquentation des églises, nous étions 150 personnes à avoir effectué le déplacement. Ce bel office organisé pour le monde agricole et par le monde agricole était agrémenté par la prestation de la chorale composée également de personnes du monde agricole. Rappelons brièvement l’origine de cette manifestation. Tout a commencé à l’époque où notre bétail était frappé par la tuberculose bovine. Au départ, c’était le clergé qui organisait cette célébration, mais suite à la diminution du nombre de prêtres, on nous a demandé il y a une dizaine d’années, si nous pouvions en reprendre la charge. Le comité d’organisation est présidé par MarieTherèse Putters qui a lancé, à l’époque, l’idée de la jatte de café avec une collation après l’office. Eprouvant des difficultés de déplacement, elle a demandé cette année à pouvoir être remplacée. Nous avons profité de l’occasion pour la fleurir et la remercier pour tout le travail effectué durant toutes ces années. Heureusement, la relève est assurée puisque Anne-Marie Gilliquet a accepté de lui succéder. Grand merci à toi, Anne-Marie d’accepter cette charge supplémentaire dans un agenda déjà chargé: travail à la ferme, responsabilité familiale, jouer à l’orgue aux offices religieux. Tu peux compter sur notre soutien. Merci à Jean-Marie Mullens pour les photos. Voici les quelques mots prononcés que j’ai prononcés durant l’office. «Cela est devenu une tradition de vous parler au cours de cette messe du rôle du monde paysan et de méditer sur son avenir. Faisons nous l’interprète auprès du Seigneur pour qu’il redonne confiance et espoir dans notre belle profession d’agricultrice et d’agriculteur. Cette année, les responsables européens ont décidé de mettre en avant les valeurs et la défense de l’agriculture familiale. Puisse la Providence les éclairer et faire que ce vœu ne reste pas sans suite. Nous, paysans, sommes les semeurs qui confions la semence à la terre. Ce petit grain de blé qui contient la vie et la confiance. Par contre, si l’on jette en terre un coffret plein de bijoux et de trésors, rien ne pousserait. Tout serait perdu. Le semeur a confiance en la terre et en la semence. Il croit en cette alliance de la graine et de la terre. Nous, Chrétiens, invoquons souvent le Seigneur pour la réussite de nos récoltes et nos élevages. NUMÉRO 1 DE L’ INNOVATION 2013 ! SPECIAL J.O. performances du troupeau optimalisées, distribution facilitée Semoulor 25/5 + Méthionine de zinc + Biotine Levures vivantes vaches laitières : 350g/jour taureaux à l’engraissement 175g/jour La Chambre provinciale d’agriculture du Brabant wallon et de l’arrondissement de Bruxelles-Capitale informe les agriculteurs du Brabant wallon des différentes actions qu’elle mènera en 2014, à destination des agriculteurs dont le siège d’exploitation se situe en Brabant wallon. Sel en TENEURvivantes S LEVURE 9 ! 0 1 x 0 1 1 UFC/kg Effets sur votre troupeau : Absence de sub-acidose : • Augmentation de la production et/ou des taux grâce à une meilleure digestibilité de la ration • Peau et pattes plus résistantes, moins de Mortellaro • Augmentation du GQM en engraissement • Diminution des cellules • Meilleure fécondité Une équipe de nutritionnistes à votre disposition ETS P. LALOUX S.A. Zone industrielle de SCLAYN-ANTON B-5300 ANDENNE 20 Pleinchamp - Tél. 0032 (0)85/ 84 60 36 Fax 0032 (0)85/ 84 91 09 nutrilor#skynet.be www.nutrilor.be Nicolas LEROY 0032 (0)478/54.65.24 Mathieu DECOSTER 0032 (0)498/97.97.60 Damien GREGOIRE 0032 (0)473/52.33.96 Pierre LALOUX 0032 (0)475/65.94.63 Romain DE BUYL 0032 (0)497/55.35.06 Mathieu BINET 0032 (0)497/28.52.94 11343953/0214 crt 13 FÉVRIER 2014 Dans le monde agricole, les gestes quotidiens se sont répétés de génération en génération. Mais le progrès est venu et avec lui de plus en plus de machines ont fait leur apparition pour alléger le travail et le labeur des paysans. On pourrait appeler cela la réussite paysanne. Mais notre vœu est que cette agriculture, même si elle est moderne, doit rester à dimension humaine et apporter un revenu décent à nos familles et aux familles des agriculteurs. Que cette vie paysanne nous permette de donner la joie et l’espérance à nos familles, enfants et petits-enfants, afin qu’ils puissent continuer à vivre dans ce bel environnement, malgré toutes les contraintes et importantes difficultés que connait le monde agricole aujourd’hui.» Demain, nous sommes le 14 février, jour de la Saint-Valentin, alors permettez-moi avant de vous quitter d’avoir une pensée pour mon épouse qui m’a toujours soutenu durant toutes mes années de syndicalisme agricole. A bientôt. La CPABW soutient les agriculteurs brabançons Formule 4 en 1 Bicarbonate de soude Grâce à la Providence, c’est l’homme, le paysan qui réalise cette alliance prolifique. Cette graine nous a été confiée au départ par Dieu. Quelle belle chaîne de confiance composée de Dieu, de la terre et du paysan. De nos jours, on ne cesse de mettre en avant l’environnement et il n’est pas nécessaire d’être un saint pour faire le lien entre pays, paysan et paysage. Cette vie dans nos campagnes que beaucoup nous envient a été bâtie par nos ancêtres. Beaucoup ont contribué de manière différente à faire évoluer le monde rural. Les paysans ont cultivé la terre. Les artisans ont fabriqué les maisons avec les pierres du pays. Les commerçants ont apporté ce qui manquait ou ne pouvait être produit sur place. Les instituteurs ont appris à écrire, à lire et à calculer. Tous ont contribué à construire ce bel environnement qui fait de notre région une très belle région. Ces actions sont au nombre de 5. En voici le détail: - Organisation, comme chaque année avec la participation du Centre Provincial de l’agriculture et de la ruralité et de Crelan, d’un concours récompensant les agriculteurs ayant le mieux réussi leur ensilage d’herbes préfanées. - Intervention dans les frais de mesurage des parcelles agricoles. La subvention s’élève à 50 € et est octroyée à tout agriculteur du Brabant wallon faisant appel au service de mesurage de l’asbl Brabant wallon Agro-Qualité en 2014. Les 50 premiers euros déboursés pour le mesurage sont donc remboursés. En plus de ceci, les frais d’ouverture de dossier (30 €) pour les nouveaux clients du service sont également remboursés. Un nouveau client pourra donc bénéficier d’une intervention maximale de 80 €. - Remboursement des frais d’inscription à l’examen pratique plafonné à 65 € pour les jeunes ayant réussi leur permis de conduire pratique G (tracteurs). Pour obtenir cette intervention, il faut absolument être agriculteur, fils/fille d’agriculteur ou personne souhaitant reprendre ou créer son exploitation. - Intervention dans les frais d’analyse de profils de printemps à hauteur de 30 € (1 profil de printemps). L’analyse est à réaliser au Centre Provincial de l’agriculture et de la ruralité. Cette action sera menée du 15 février au 1 mai 2014. - Intervention dans les frais de consultance (GIQF-Guides sectoriels) réalisée par l’asbl Brabant wallon Agro-Qualité. La subvention s’élève à 50 €/ agriculteur. Ces actions seront menées en 2014 jusqu’à épuisement des budgets fixés et une seule demande par an et par agriculteur (pour chaque action) sera acceptée, les formulaires peuvent être obtenus par simple demande auprès du secrétaire/trésorier, Quentin Duchenne, au 02/656.09.70 ou par mail [email protected]. Les demandeurs doivent répondre aux conditions d’octroi et joindre au formulaire les justificatifs nécessaires (copies factures).